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 :: Soul Society :: Seireitei :: Gotei 13 :: Division 4 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Despicable me ( PV Unohana)
Kuchiki Byakuya
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Kuchiki Byakuya



Longeant la rue principale qui le rapprochait de la Quatrième Division, Byakuya  venait de quitter le bureau du capitaine de la Dixième. En son esprit cartésien, il avait encore leur propos plutôt salutaires. Cependant, ce qui l'amenait ici était bien autre chose. En effet, depuis que Nadeshiko avait disparue « mystérieusement », laissant au noble Kuchiki une sorte d'herbe médicinale pour le sommeil, ainsi que cette solution pour sa pupille encore convalescente, Byakuya subissait des saute d'humeur qui'il peinait à maîtriser par moment. Il serait fortement fâcheux qu'il ne s'emporte définitivement devant le Sotaicho, avec ce qu'il avait à proposer. Il ferait beau voir de retrouver un Roku Ban Tai Taicho aussi bouillonnant que dans ses plus jeunes années. Seules trois personnes pouvaient se rappeler de ce genre de comportement de sa part... Trois personnes que le noble respectait en tant qu'aînés. Cité leur noms seraient futilité... seulement, l'un de ces personnages n'étaient autre que la personne que désirait voir présentement Byakuya. Le visage impassible, sous le carcan d'une chevelure toujours aussi sombres, le Roku Ban Tai Taicho n'observait pas même les shinigamis qui le croisaient. Au moins il ne portait plus son bandeau qui le faisait passer pour un pirate venu d'un tout autre temps.. où bien à Zaraki. C'est au choix de chacun de le dire. Même si cette dernière ressemblance ne soit pas du goût de notre chef de clan.  Bifurquant sur la droite, le voilà à mi chemin de son but.

Inspirant l'air un peu plus frais qui l'entourait, Byakuya ne ressentait plus cette frustration qui l'avait saisi alors, il y a peu dans le bureau de son homologue. C'était comme une eau dormante au fond de son être. Une impulsivité qui le rendait mauvais. Pas dans le sens de ses actes, mais cette colère juvénile lié à l'impatience n'était pas un cadeau. Elle ne l'avait jamais été..Pourtant, elle fut salutaire lors que le noble restait trop sérieux en ses études, vis a vis des attentes qui pesaient sur ses jeunes épaules. Parfois, il arrivait à Byakuya de se demandé s'il était devenu ce qu'aurait voulu son père. Ce dernier avait toujours eut un calme des plus impressionnant sans être froid... Alors que lui.... Voilant lentement son regard face à cette impression d'avoir un mauvais « moi » bien calfeutré sous cette couche de stoïcisme, Byakuya ne s'adonnait qu'à la logique. Refusant que ses sentiments ne dominent son existence. Il désirait un juste milieu entre ces deux éléments, afin de ne pas choir comme il avait bien faillit le faire, lorsque Rukia avait été condamnée.

Une fois de plus, son esprit lui rappela les paroles tenu par Hitsugaya Taicho et c'est un air un peu plus sévère qui s'afficha sur ses traits. La frustration revenait alors qu'elle ne le devrait point. Rouvrant ses paupières qui dévoilèrent un regard des plus gris acier qui soit, Byakuya terra cette colère, avant même de franchir la grande porte de la Quatrième Division. En ce jour, on ne peut pas dire que le noble n'avait pas tenu un rôle social. Lui qui d'ordinaire restait dans sa Division pour s’adonner à ses dossiers. De quoi faire sourciller Renji si ce dernier l'apprenait.  Cependant, le Roku Ban Tai Taicho était ici pour un but précis dont il se serait nettement passé. Sa présence ne passa évidemment pas inaperçu.  Il faut dire que voir un capitaine ici autre qu'Unohana c'était assez rare... ou alors malade au fond d'un lit. Mais certainement pas pou rune probable visite. Évidemment, le chef de clan n'informa nullement le pourquoi de sa visite, se contentant simplement de signaler sa venue auprès de la maîtresse des lieux, comme quoi il voulait s'entretenir avec elle. Après quoi il rejoignit le bureau de cette dernière sans pour autant pénétrer sur les lieux. Comme précédemment, Byakuya se contenta d'attendre.

En sa main droite, il tenait alors le flacon pour son œil, afin de le montrer. Il n'y avait plus rien de marqué dessus, si ce n'était le nom du produit. Normalement, il aurait eu le réflexe de se présenter face à Nadeshiko, mais lui comme le reste du Gotei Treize savait qu'elle avait déserté. Cependant Byakuya ignorait encore qu'il n'était pas le dernier à l'avoir vu avant sa disparition....Comme tout le monde ignorait qu'il l'avait laissé partir.  Elle lui avait donné les directives concernant le traitement, mais il est clair que malgré le progrès de sa vision avait un revers de médaille...Un effet secondaire des plus déplaisant pour celui qui avait besoin de sans cesse garder le parfait contrôle de lui même. Restant debout, le noble garda simplement son attention porté sur cette fâcheuse porte... En son esprit il comptait déjà jusqu'à dix, comme par le passé. Diantre, cela le prenait donc de manière aussi vil. Un froncement de sourcil nacquit sur ses traits pâles.  Il était temps qu'il se présente en ce cas.  



...................
Dim 29 Oct 2017 - 17:24
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Cela faisait désormais quelques jours que Nadeshiko ne vient plus à la quatrième division. Unohana est parti ce matin fouillé dans les appartements de celle qui est ou était sa huitième siège depuis près de trois cents ans. En entrant la Yon Ban Tai Yon Taichô comprit que personne n’y avait mis les pieds depuis peu de temps au vu de la poussière installée. Le reste du mobilier est parfaitement rangé, rien de déplacé. Qu’importe le temps écoulé, la médecin en chef est la première personne à pénétrer en ce lieu. Au point de reconnaître l’esprit soigneux et organisé de sa subordonnée. Le lit est fait en quatre épingles les divers ustensiles brillent et demeure à leur place. Une pensée la traversa, une idée qui rendit le visage de la doctoresse morne. Pour quelle raison à telle désertée ? Qu’elle a une relation plus qu’amicale avec un membre de la dixième division, mais même si elle s’était cachée là-bas elle en aurait forcément eu vent ! À cause de cette désertion, elle dut assigner un autre siège au suivi médical de la Fukutaichô Hinamori. Sinon, l’un des patients les plus récents est le Kuchiki Taichô, mais lui devait être en voie de guérison pour son œil. Sinon, le bruit d’une de ses visites se serait propagé aussi prestement qu’un éclair transperce l’obscurité.

Errant dans l’appartement de la déserteuse, Retsu tombe sur le laboratoire personnel de Tsukino. Une nouvelle hypothèse émerge, sa disparition a-t-elle un lien avec ses recherches ? En cette heure, tout est encore possible. Tout comme sa personne, la Hachi Seki se trouve être une chercheuse médicale, mais sur quoi elle travaillait seules ses notes vont lui permettre de le découvrir. Elle attrapa la première pile qui lui tombe sur les mains et chercha à faire le lien entre ses écrits et les schémas. Visiblement, cela parle de son pouvoir de détection de la réalité combiné à un autre pouvoir. Elle stoppe sa réflexion, l’impression d’être halé, mais plus rien. Au moment de reprendre, le son se fait plus distinct. Son imagination ne l’avait point frappé, on l’appelle bel et bien. Elle reposa les documents sur la table avant de s’extirper de l’appartement. Une jeune shinigami sans siège l’informa que le capitaine de la sixième division est venu et qu’il demande à la rencontrer. Voilà, qui est surprenant, cherche-t-il à avoir des informations sur Nadeshiko ? Qu’importe, il lui fallait d’abord prendre toutes les informations pour comprendre la fugitive. Et si jamais elle revient ou qu’elle se rencontre tous deux à nouveau. Savoir si elle pourrait se montrer indulgente ou qu’elle devra être aussi sévère que ses homologues à l’encontre des traîtres. D’abord, il lui faut rassembler tous les documents afin de pouvoir les analyser calmement dans son bureau.

Son innocente subordonnée lui demanda si elle pouvait tout porter elle même. Cette attention aussi simpliste soit elle lui rendit son sourire chaleureux. En dépit de devoir dans un futur proche ou lointain appliquer une sanction irréversible envers un des siens qu’elle se sent le devoir de protéger. Malgré tout, elle ne peut se laisser abattre par cela. Alors elle prendrait soin des présents comme à son habitude. Elle marche d’un pas tranquille bien qu’elle soit attendue. Veillant à ne pas forcer sa suivante qui aux bras charger de feuille et de cahier divers. L’avantage d’être capitaine sans forcément se nommer Unohana Retsu est que sa présence serre de gyrophare ne l’obligeant en aucun cas à user de sa voix pour se permettre de passer. Son pas non pressé lui permet d’observer les soigneurs de la quatrième restant attentive au moindre faute d’inattention ou si jamais un membre de la onzième venait à se sentir à nouveau trop supérieur. Mais pour ces derniers, savoir qu’elle est présente suffisait à calmer leur ardeur.

Elle arriva le sourire accueillant aux lèvres devant son égal de la sixième division suivi d’une récente recrue de la quatrième division.

- Kuchiki Taichô que me vaut le plaisir de votre visite ?

Elle attendit un peu qu’il s’exprime, s’il décèle sa langue. Avant d’ouvrir la porte de son bureau en lui permettant d’entrer. Logiquement, sa subordonnée directe devrait rentrer après les deux capitaines. Cependant, Unohana lui ordonna de déposer toutes les affaires en mains sur le dessus d’une petite armoire qui lui arrive un peu haut dessus de ses coudes. La novice dû ramasser quelques feuilles lui ayant échappé avant de refermer la porte derrière en faisant sa révérence comme il se doit aux deux capitaines du gotei treize.

- Bien, nous pourrons parler plus librement. Avant de connaître la raison de votre venue, j’aimerais savoir si votre œil va mieux depuis votre dernière visite.
Mar 31 Oct 2017 - 16:47
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Kuchiki Byakuya
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L'attente ne fut fguère longue fort heureusement, alors que déjà Unohana Taicho se présentait à lui. Inclinant brièvement son encontre, Byakuya se contenta de répondre simplement qu'il était là pour un entretient envers sa personne. Ce fut concis et tellement évident de la part de notre Roku Ban Tai Taicho. Ce dernier n'était absolument pas du genre à parler de sa vie privée, et ce encore moins face à des oreilles indiscrètes. Chose qu'apparemment la maîtresse des lieux avait comprise, car elle fit en sorte d'ouvrir la porte, pour le laisser entrer, non sans congédier sa subordonnée. Ceci plaisait bien plus à Byakuya qui s'aventura un peu plus avant dans la pièce. La frustration ne semblait plus avoir de prise sur lui pour le moment, tandis que la démarche du noble trahissait toute fois une certaine tension nerveuse. Ce genre de fait ne pouvait pas tromper l’œil avisé d'un médecin qui possédait de la bouteille. Le chef de clan pouvait usé de tout le self contrôle qu'il voulait, le corps pouvait parfois parler pour lui même. Ses bras étaient le long de son corps lorsqu'il fit face à nouveau à son homologue. Son regard anthracite pouvait contempler ce visage doux mais qui parfois pouvait dégager un sentiment effrayant. Elle venait de poser le doigt même sur le sujet de sa venue et c'est même à se demander si ce n'était pas exprès. Si bien qu'un haussement de sourcil vint à marquer les traits d'ordinaire impassible du capitaine. Une seconde, voir deux peut être s'écoula avant qu'il ne daigne alors ouvrir à son tour la bouche, laissant entendre un ton des plus monocordes :


Il semblerait que les soins apportés par votre ancienne subordonnée furent des plus salutaire à mon égard. Ma vue n'éprouve plus aucune fatigue, bien qu'un effet secondaire me contrarie. D'où l'objet de ma visite.


Sans parler du fait que la tisane prescrite lui apportait un bien meilleur sommeil. Mais Byakuya gardait cela pour lui même. Nadeshiko lui avait donner cela à titre privé. C'est une chose que le noble ne parvenait pas encore à bien comprendre, lorsqu'il avait toujours noté un certain détachement envers sa personne, en elle. D'ailleurs, le chef de clan avait pris le temps de bien choisir ses mots concernant son appellation quand on connaît la situation de cette femme. Cette dernière avait tourné les talons pour s'enfuir dans le Gensei...Et Byakuya ne l'avait point retenu. D'ordinaire, il aurait fait en sorte de l'arrêter sur le champ, mais la cause de cette femme sonnait juste à ses oreilles et il lui devait une certaine dette. Voilant ses paupières, un air des plus stoïque s'afficha sur le visage pâle du Roku Ban Tai Taicho. Devait-il aussi lui demander son avis sur la situation ? 2Tant la plus ancienne parmi les capitaines, peut-être serait-elle plus à même d'entrevoir la réaction du Sotaicho concernant son idée. Mais dans une sens, Byakuya n'aimait pas non plus se déversé en recherche de conseil. C'était ce qui le rendait assez mystérieux dans ses actions, mais aussi efficace. Surtout en tant que leader d'un des plus grand clan de la Soul Society. Ce poids, il le portait sur ses épaules depuis son enfance.. d'où le fait d'être toujours sous pression et ce qui valait ses crises impulsives. Des sensation qu'il ressentait à nouveau depuis quelques temps et qui ne lui plaisait guère.. exacerbant un peu plus encore cette frustration.

La différence c'est qu'à ce jour, Byakuya était bien plus maître de lui même et savait mesure le temps pour avoir des moments bien à lui.. Évitant ainsi toute implosion mental. Quoi qu'il en soit, il n'avait pas nommé Nadeshiko, afin de ne pas importuner Unohana. Une trahison de plus, bien que celle ci était toute particulière car elle n'animait pas une vision à tout détruire. Il y avait quelque chose de noble là-dedans, mais aussi quelque chose de cassé....Une blessure et ce n'était pas le rôle du noble que de pouvoir cautériser ceci. Tenant encore le médicament en main, Byakuya attendait sagement que son aînée de ne lui réclame pour toute observation. Il était hors de question qu'il se retrouva à nouveau avec un bandeau où bien avec des bestioles dans son œil pour ne pas avoir pleinement suivit les visites médicales... Quand bien même le noble ne ratait jamais l'occasion de travailler.



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Lun 6 Nov 2017 - 11:28
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Il fallut peu de temps avant d’apprendre la raison de la venue de Kuchiki Taichô. Une réponse simple et concise comme le veut l’image que revoit le noble. Elle savait que l’aristocrate ne parlerait jamais davantage avec la présence d’une subordonnée. De toute manière, ils ne sont pas à la seconde près, même si elle se doute de l’importance de sa visite. Le capitaine de la sixième division n’étant pas réputé pour prendre son temps en futilité. Non, il est du genre à aller droit au but. En passant du côté de son bureau, Unohana put apercevoir quelque chose d’étrange dans la démarche de son homologue. Se remémorant les rares fois où ils se sont aperçus, elle trouvait sa démarche assez accélérée comme de l’impatience ou de la nervosité. La porte se ferme et la jeune shinigami laisse désormais en tête à tête les deux chefs. Lorsque Byakuya leva un sourcil au moment où Retsu parla de son œil et du fait qu’il tenait une fiole dans sa main sans pouvoir resté impassible. Son instinct lui révéla que leur entretien allait directement avoir un rapport avec l’œil anciennement infesté de vers d’un arrancar du malade.

Elle sourit ravie d’entendre qu’en dépit de sa désertion Nadeshiko continuait de soigner les blessés avec sérieux. Un sourire qui s’effaça bien vite en entendant que son égal subit des effets secondaires contrariants. Son regard se porta sur la fiole tenue dans la main bougeant de son interlocuteur.

- C’est le traitement en question ? Puis-je le voir ?

Simple question de politesse, elle savait qu’elle obtiendrait sans peine la fiole. Elle la tourna entre ses doigts afin de lire le nom inscrit. Fronçant un instant les sourcils. Connaissant le mal oculaire du patient, elle ne s’étonna pas que la déserteuse lui proscrive ceci. Assemblant toutes les pièces du puzzle elle comprit que si sa vue revenait alors sa contrainte se trouvait ailleurs.

- Je pense pouvoir deviner sans mal la raison de votre présence ici, mais je dois vous poser une question. Combien de goutte mettez-vous dans votre œil ? Il faut savoir que cette solution est vraiment puissante et qu’un simple petit surdosage peut entraîner des effets secondaires normalement imperceptibles dans un dosage parfait. Mettre quelques gouttes en trop suffit pour que vous puissiez partir dans une colère démesurée pour une contrariété enfantine.

Elle devait alors savoir s’il s’agissait uniquement du fait que le corps du noble ne supportait pas le dosage ou que ce dernier était trop rude malgré les soins demandés. Elle aimerait bien aussi poser des questions sur Nadeshiko comme Byakuya est le dernier à l’avoir vu. Seulement chaque chose en son temps. D’abord, il fallait calmer les ennuis de nervosité de la noblesse, mais il lui fallait absolument savoir combien de goutte il mettait dans son œil. Une fois après Unohana pourra offrir des soins permettant à son jeune homologue de retrouver sa sérénité.
Dim 12 Nov 2017 - 14:21
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Kuchiki Byakuya
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Le noble releva ce sourire sur le visage de sa collègue, mais curieusement, ceci n'était pas aussi dérangeant que d'ordinaire. Il y avait une forme de douceur en celui-ci. A moins que l'oeil avisé de Byakuya ne se trompe sur le sujet. Sa main était un peu moite quand il la tendit dans la direction d'Unohana, désirant lui confier cette fameuse fiole déjà bien entamé. En vérité, il n'en restait guère assez pour la fin du traitement exigé. C'est aussi ce qui intriguait l'intellect du Roku Ban Tai Taicho. En général on confiait juste ce qu'il fallait au patient. Inspirant lentement, il s'imposa le calme tout en attendant simplement l'explication de la maîtresse des lieux. Chose qui ne tarda guère car déjà Unohana inspectait la fiole non sans émettre une interrogation à son égard... Le nombre de gouttes ? Un froncement de sourcil vint à marquer les traits impassible de Byakuya. Ce dernier commençait à comprendre, rien qu'en apprenant les effets secondaire. C'était donc ce traitement qui lui apportait tant de désagrément ?  Dire qu'il avait bien faillit explosé plusieurs fois lors des réunion du clan. Cela aurait été bien fâcheux d'ailleurs, mais le noble avait tenu en s'accrochant aux préceptes de son grand-père.  Sa main droite s'était rabaisser pour retomber le long de son corps, venant à se crisper malgré lui sur le haori. C'est en sentant le tissu entre ses phalanges qu'il y glissa un bref regard... Réalisant alors son acte qu'il corrigea prestement...Reprenant une allure contrôlée.  


Vous voulez dire que je me serais trompé dans le dosage ?


Voila bien quelque chose de peu ordinaire. Lui ? Le capitaine de la Sixième Division... faire ce genre d'erreur ? Voila qui était abracadabrant et qui n'aidait en rien à cette frustration toujours tapis au fond de lui même. Elle se montra plutôt hargneuse pour l'occasion. Pourtant Byakuya ne cédait pas. Comment avait-il pu commettre une telle sottise ?... La mauvaise foi lui faisait presque comprendre que ce n'était autre que la faute de Nadeshiko.  Sauf que cette dernière n'était plus ici et ne pouvait donc se défendre. Voilant un instant son regard, Byakuya tâchait de recouvrer une rationalité à toute épreuve, avant de laisser sa voix des plus atone se manifesté dans les airs. Il savait pertinemment que ce genre d'accusation serait une insulte et que seule sa frustration plus qu'impétueuse était l'instigatrice d'un tel jugement hâtif.


Je ne puis expliquer d'où viendrait cette erreur de dosage, mais j'escompte bien à ce que vous me trouviez une solution à ce fâcheux problème. Je crois que vous savez aussi bien qu emoi, que je ne puis perdre le contrôle de ma personne.


Son air était des plus graves, alors que ses mains restaient résolument calmes. Il était hors de question qu'il laisse ses émotions prendre le dessus. Cela n'avait plus lieu d'être depuis des décennies. De plus il s'était donné pour mission de faire bouger les choses, afin que l'on puisse venir en aide à Ichigo. Le chef de clan n'avait pas perdu de vu de demander l'autorisation d'aller voir les Vizards, avec l'excuse de maintenir cette alliance tout juste installée. Byakuya savait que sa demande serait toute légitime, car c'est à avec l'aide de sa propre Division que cette alliance existait. Maintenant, est-ce que ces hommes allaient l'écouter ? Rien n'était moins sûr... Mais ces derniers tout comme lui appréciaient Ichigo. Ce dernier ne devait pas être abandonné. Byakuya connaissait ce sentiment, bien qu'il s'y était préparé. Il avait imaginer pouvoir mourir parle biais de sa propre arme à ce moment là. Se refusant de déshonorer son clan, comme la Soul Society qu'il s'était toujours juré de protéger.  Aussi ce n'était donc pas un mauvais dosage de médicamentent qui allait changer la donne. Le noble ici présent, s'était voué à une mission des plus délicates et l'erreur ne sera pas permise... Pas avec ce qu'il y avait en jeu.

Soupirant alors intérieurement et abaissa un peu son menton, tout en dévoilant un regard aussi insondable qu'il était gris, vis à vis de celle qui lui faisait face à présent. Ils étaient seuls, et pourtant  Byakuya n'aimait pas parler de cette faiblesse, que le manque de contrôle. Quand bien même il avait toujours considérait Unohana  avec respect, tout comme Shnusui et Ukitake. Ils étaient bien les rare à le connaître depuis son enfance. Devrait-il aussi lui soumettre ce dont il avait parler auparavant à Hitsugaya ? 


Jeu 16 Nov 2017 - 16:16
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Un contact éphémère des doigts sur la paume de Byakuya permit à Unohana de confirmer qu’il transpirait. Le surdosage doit lui provoquer des bouffé de chaleur avec le stress de contenir ses sautes d’humeur. En regardant le flacon et la durée du traitement, il a dû en mettre entre quatre à six gouttes entre chaque prise. Le jeune Kuchiki semblait lui aussi comprendre d’où venaient ses désagréments. Un instant elle s’interrogea sur la force mentale de son homologue pour parvenir à éviter de crisser avec ce surdosage. Surtout qu’elle ne s’imagine pas que son entourage ou que ses fonctions ne le mettent pas en permanence à l’épreuve. Sur ce point, Retsu pourrait être envieuse envers le jeune shinigami, elle qui sous un masque de pureté doit également se faire violence pour éviter de déchaîner la kenpachi qui sommeille en elle. Enfin heureusement les risques n’étant qu’au moment ou certains suicidaires s’essayent à la contrarier ou à l’énerver, mais aucun n’est parvenu à la faire imploser pour leur plus grand bien à tous.

Elle ne fit qu’un doux hochement de tête pour affirmer la supposition du patient. Elle commençait à réfléchir à comment arranger l’erreur et savoir comment doser la solution ayant était surdosage. Elle stoppa sa réflexion avant de voir son interlocuteur le regard vide. Il reprit sa contenance avant de s’exprimer à nouveau de sa voix atone. Elle répondit avec un sourire et d’un timbre doux.

- Il n’est pas nécessaire de trouver la raison de cette erreur le plus importante étant de la réparer. Je sais également que trop bien qu’en plus d’être un capitaine qui ce doit de montrer l’exemple à tous ses hommes, il vous faut être irréprochable en temps que chef d’un clan aussi prestigieux que les Kuchiki. Nous savons aussi tous deux combien d’années il faut pour se créer une réputation convenable et combien de secondes il faut pour la traîner dans la boue.

Elle se leva délicatement pour partir en direction d’une armoire à gauche de son bureau. Cherchant un bouchon pour le doseur.

- Je peux même dire qu’ensuite malgré des efforts insensés pour reblanchir votre image, il restera toujours des résidus de terre rappelant votre passé et même après avoir redoré votre blason, il aura toujours des langues volontaires ou non qui vous rappelleront votre faute. Alors malgré vos troubles garder la tête froide.

Parlait-elle pour lui ou pour elle-même ? Un peu des deux, dans le passé elle fut une guerrière, une des treize sanguinaires, une massacreuse qui n’était repue des combats uniquement en affrontant des adversaires à sa mesure et dans l’attente du guerrier qui parviendrait à la tuer. Hélas, le jour ou elle rencontra cet adversaire ce dernier se retenu justement pour ne pas la tuer. L’eau a beau avoir coulé sous les ponts, la terreur qu’elle aperçoit dans les yeux des shinigamis ayant peur suite à l’avoir contrarié ne tremble pas devant la douce capitaine de la quatrième. Mais devant les vestiges de la première kenpachi. Ironiquement sans qu’il en ait conscience uniquement, car les plus anciens et les plus observateurs sentent dans leur instinct le plus enfoui le danger qu’elle représente. Comme si tous ses efforts à soigner les blessés ne pouvaient complètement effacer celle qui au fond aimerait pouvoir reprendre sa lame contre un ennemi qui ne s’effondrerait pas à peine les premiers échanges du croisement du fer. Elle se rassie et regardant à nouveau Byakuya.

- Cet embout vous permettra de ne prendre qu’une goutte à la fois. Garder justement appuyer jusqu’à ce que la goutte arrive. En parlant de goutte cette fois-ci, il vous en faudra en prendre deux jusqu’à la fin du flacon et non trois. Je vais également vous prescrire des pilules pour quelques jours. Attention à ne pas trop en mettre, sinon vous risquez au contraire d’avoir envie de dormir et ne plus parvenir à vous énerver.

Mieux valait sans doute éviter de lui expliquer que les pilules en question étaient créées à l’aide d’un venin qui avait pour bute justement de détruire le système nerveux. Sauf, qu’en faisant des études sur ce dernier elle est parvenue à adoucir la puissance du poison et à le détourné de son bute initial. D’un geste, elle sortit des feuilles et prit sa plume pour commencer à rédiger l’ordonnance du Kuchiki. Elle avait cependant une question pour lui sans lien direct avec la raison de sa visite.

- Dites-moi étant la dernière personne à avoir vu Nadeshiko. Que vous a-t-elle dit pendant votre rencontre ?

Demanda t'elle d'un ton neutre.
Jeu 23 Nov 2017 - 15:33
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Kuchiki Byakuya
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Hors donc, Byakuya avait raison de croire à son hypothèse. Le hochement de tête de sa collègue en disait très long sur le sujet. Cependant ce qui ne manqua pas de  le surprendre, c'est bien d'entendre dire qu'elle comprenait parfaitement sa position, quant à devoir offrir une image des plus parfaite en société. Un léger froncement de sourcil naquit sur ses traits impassibles. D'ordinaire on ne s'évertuait aucunement à le comprendre...Mais là, le noble Roku Ban tai Taicho avait la sensation qu'il y avait un propos plus profond derrières ces quelques phrases. Cette sensation se fit plus grande au sein de son esprit cartésien, quand Unohana vint à surenchérir en soumettant qu'il était même quasi impossible de changer les impressions d'autrui une fois que le mal était fait. Le chef de clan ne pouvait pas lui donner tort sur ce point. C'est pourquoi Byakuya s'évertuait à toujours placer la barre haute concernant son comportement, malgré que pas mal d'anciens aiment lui rappeler ses deux actes de rébellion.  Il laissait souvent le silence répondre à ces petites piques, car jusque là, il a toujours œuvrer pour le bien de son clan, comme de la Soul Society. Inspirant lentement, le capitaine se contenta d'incliner un peu son visage à son tour.  Restant toute fois assez intrigué par ce qu'il pensait entrevoir.  Faisant sa collègue, il ne pouvait nier qu'elle était bien plus mystérieuse que lui même, avec ce sourire qui pouvait en une seconde vous glacer autant qu'il pouvait vous réconforter. Byakuya ne connaissait guère le passé de cette femme... Elle était déjà là alors que son grand père lui- même se trouvait en fonction. C'était même à se demander si une quelconque personne n'avait déjà osé lui posé la question. Une audace que d'ordinaire le noble n'aurait point, car qui mieux que lui pouvait comprendre que préserver sa vie privé avaient des airs de.....vacances.

Et alors qu'elle lui tournait brièvement le dos afin de rejoindre son bureau, le Roku Ban Tai taicho garda cette petite question pour plus tard. Sans aucun doute motivé par cet effet secondaire. Sa collègue lui apporta la solution à son problème, lui soumettant un ustensile pour ne faire couler que deux gouttes..Soit... encore des gouttes... Ah non point que visiblement. De quoi agacer secrètement le chef de clan, bien que son visage ne trahissait que peu de chose. En effet, c'était un peu ironique que de venir pour en finir avec ce traitement et ne plus en subir les effets secondaires...Pour en ressortir avec un traitement en plus. Des pilules qui risquaient de l'abrutir s'il n'y prenait pas garde. Il ferait beau voir que de contempler un Taicho tel que lui s'endormir sur ses dossiers.  Restant assez grave il se contenta de contempler sa façon s'écrire, avant qu'elle n'en vienne à lui posé une question pour le moins.. légitime. Voilant à demi son regard, le noble se remémorait très bien cet événement. La voyant debout, avec cette arme dans les main...Katana qu'il détenait toujours et qui attendra sagement sa propriétaire. Chose à quoi, Byakuya se contenta de se rapprocher un peu de la table avant de concéder d'une voix toujours aussi monocorde et grave :



Elle m'a simplement  parlé du fait qu'elle ne trouvait pas sa place ici, car selon elle  «  Les lois de notre monde sont clairement dépassés, et les horreurs passées et à venir ne me laissent aucunement le choix. Je ne peux pas juste attendre que celle que je considère comme ma sœur soit vue comme traîtresse à son tour à cause de sa disparition. »


Il venait de citer mot pour mot les paroles de Nadeshiko. Comme si une désertion dans n'importe quelle armée du monde ne menait pas à la même chose.. Tu trahissais ton pays, ton monde et ton drapeau pour certain. S'engager dans l'armée n'est pas comme devenir paysan ou simple commerçant. C'est un engagement. Quoi qu'il en soit, il l'avait laissé partir parce qu'il comprenait ce qui animait la jeune femme.  C'était une cause  noble que Byakuya était à même de comprendre. Cependant, ce petit dernier n'avait point oublié ce qui lui trottait dans la tête et poussé par l'impatience, il en vint à transmettre cette modeste question.  


Vous sembliez parfaitement connaître le fait de devoir porter un masque... ou est ce que je me trompe ?


En temps normal, personne ne demanderait une telle chose et prendrait la porte suite à  avoir eu son traitement. Et encore... Il faut croire que la frustration donne un peu d'audace.

Sam 2 Déc 2017 - 13:45
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Ce genre d’entretien a toujours une saveur particulière. Les deux capitaines parlaient beaucoup, non pas par les mots, mais par les idées que ces derniers véhiculaient. C’est un sentiment étrange de sentir que l’on peut se dévoiler en peu de mot. Souvent, c’est grâce aux similitudes des deux vies que les interlocuteurs ont partagé. Bien qu’Unohana sait parfaitement que son parcours est complètement différent de celui du jeune Kuchiki. Il n’en partage pas moins des ressemblances troublantes. Ainsi si elle peut l’aider à se protéger via son expérience pour qu’il n’ait pas à payer d’une erreur qu’il serait assez sage de ne pas commettre ainsi soit-il. Enfin, le petit Byakuya est parvenu à tenir l’explosion de ses colères en échec malgré un handicap plus que contraignant. Combien auraient piqué des crises de nerfs à sa place ? La capitaine de la quatrième ignore si elle aurait tenu aussi bien. En dépit qu’elle soit tout de suite d’où vient le problème et irait prendre des soins pour son bien et notamment celui de son entourage. En parlant de colère à quand remonte la dernière fois qu’elle est véritablement sortie de ses gonds ? En ce fiant à sa mémoire, même à l’époque des treize sanguinaires elle ne s’énerver que peut. Uniquement si on parle de coup de sang auquel cas si on considère ses contrariétés comme de la colère. Alors les comptés seraient une entreprise bien trop chronophage.

Gardant son habitude d’observer son patient, elle lut la contrariété lorsqu’elle lui apprit qu’il devrait prendre un traitement supplémentaire pour atténuer les effets secondaires du premier. Ironique, elle retient un sourire narquois en imaginant que si jamais il trompe à nouveau dans le dosage. De prendre plus de goutte pour contre carrer les effets tranquillisants des gélules. Un cycle sans fin et surtout contre-productif. Les gouttes dépasser une certaine dose ne feront pas plus d’effet, en dehors d’augmenter de manière drastique la difficulté à garde son calme. Enfin, sa contrariée a peut-être une autre source. Difficile de tirer profit de ce genre d’inconvénient de son convive. Mais si c’était le cas alors elle comprendrait parfaitement sa gêne.

Instinctivement, elle écrit plus lentement en écoutant les dernières paroles de Nadeshiko retranscrit par le capitaine de la sixième division. À sa voix monocorde il serait si facile d’oublier qu’il les sous les effets d’un médicament le rend plus apte à s’emporter. Avant de reprendre son allure et terminer. Son visage se durcit quelques instants avant de reprendre une mine plus neutre ayant une pointe affligée. Au fond, Retsu comprenait les sentiments de son ancienne huitième siège, mais son devoir l’oblige à rester ferme vis-à-vis de ses obligations. Au moins, elle lui offrirait une chance de sauver sa tête en cas de rencontre. Elle devra avoir des arguments suffisamment solides pour qu’elle puisse justifier que la peine de mort ne soit pas appliquée. Kuchiki la rappela brièvement à lui en l’interrogeant directement sur le fait de porter un masque. C’est vrai, il fait partie des nombreux shinigami ignorant tout du passer de la première Kenpachi. Ne sachant même pas qu’elle fut la première kenpachi. Elle doutait même que quiconque réussisse à réciter le nom de tous les kenpachi de la onzième division dans l’ordre. D’une voix neutre, mais douce elle donna son avis encore plongé sur le sort de son ancienne subordonnée.

- Sans doute plus que vous ne pouvez l’imaginer. Porter un masque signifie taire une partie de nous même afin d’endosser un rôle que l’on a revêtu de son plein gré ou non. Attribué de naissance ou pas. Enfin dans mon cas cela fait si longtemps que j’ai endossé le rôle de médecin que j’ignore si je porte toujours un masque ou si j’ai fusionné avec lui. Dans ce cas la question de savoir si j’en porte toujours un. Je vous dirais seulement que la crainte de me mettre en colère est loin d’être infondé. Après tout même le complaisant Kyoraku et le puissant Kenpachi évitent de vouloir me faire sortir de mes gonds.

Concernant Zaraki lui plus qu’un autre à toutes les raisons d’éviter de l’enrager. Si jamais il venait à oublier pourquoi, il lui suffirait d’un miroir ou de tâter sa cicatrice à l’œil. Sans compter que ce jour-là, il aurait pu ne jamais avoir à se soucier de cette blessure, car après tout c’est lui qui s’était retrouvé à terre. Le tout sans quelle use de son bankai. M’enfin, c’était le passé qui refaisait surface de temps à autre. Désormais c’est le présent qui la préoccupe.

- Pour en revenir à Nadeshiko par le cœur je comprends son désir de partir. Mais par ma position, je ne peux être complaisante. Si un jour je la revois, j’espère qu’elle aura assez d’arguments pour sauver sa tête ainsi que celle de son ami. Dans le cas contraire, je me verrais obligé d’appliquer nos lois qu’importe son avis ou le mien sur leur date. Peut-être trouverais-je une des raisons de sa fuite dans ses notes.

Le devoir demeure au-delà des sentiments. Byakuya plus qu’un autre devait comprendre son ressentis. Elle le fixe désireuse de poser une question, qu’elle juge pour le moins personnelle touchant directement l’aristocrate au cœur de sa personne. Comment à t-il géré le fait de devoir tuer sa sœur par obligation alors qu’au fond il souhait la protéger et ne pas la retrouver pour éviter de l’abattre de sa lame ? Elle désire lui demander, mais cela reste délicat, comment le formuler sans qui ne se braque ou qu’il ne se défile. Unohana s’interroge sur comment elle voudrait entendre la question si on lui l’a posait, mais en vérité est justement qu’elle n’aimerait pas l’entendre. Difficile alors de consolider deux sentiments contradictoires quand le passage à l’acte efface l’un ou l’autre. Est-ce que ses interrogations sur son minois n’ont pas retranscrit sa question de façon non verbale malgré les règles de politesse sur la vie privée ? Qu’importe pour le moment, elle se décide à ne pas prononcer ceci à l’oral.
Mer 13 Déc 2017 - 16:14
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Le  noble était intérieurement soulagé de savoir que son problème d'humeur ne serait bientôt qu'un lointain souvenir. Son regard anthracite fixait par moment la paperasse qui régnait sur le bureau de sa collègue. Cette dernière semblait avoir ralenti son écriture, comme pour mieux écouter ses paroles. Un attention tout à fait compréhensible, puisque cela concernait Nadeshiko. Son visage n'exprimait rien de particulier tandis que ses mains perdirent de leur moiteur. Le calme était devenu plus naturel en ses veines, ce qui en soit était une bénédiction.  Cependant la gravité de l'instant semblait toujours aussi présent et quand il l'entendit s'exprimer envers le fait que nul ne cherchait à vraiment taquiner Unohana, le noble Roku Ban Tai taicho ne pouvait que confirmer intérieurement. Ce fut même un bien étrange constat pour notre protagoniste que de reconnaître que tout le monde portait en définitive un masque... Devenant ce que l'on voulait que l'on soit aux yeux des autres, par leur fonction... Et devenir ce que l'on était que dans le privé. Mais, lui n'avait pas ce luxe. Même en sa propre demeure, il se devait de jouer un rôle. C'était pour ainsi dire sa cage dorée. Un poids qu'il avait appris à accepté avec le temps, mais aussi à contourné grâce à Rukia, et pas seulement.. Il devait ses moment de paix aux attentions de son propre bras droit, Abarai Renji. Tout deux paraissaient pourtant bien différent et pourtant. Ce dernier ne  l'avait jamais abandonné et même  fait front quand il le devait. Tout comme un certain Shinigami Remplaçant dont je tairais le nom. Byakuya ne se sentait plus aussi seul que par le passé et remerciait en silence sa défunte épouse de lui avoir permis d'avoir en quelque sorte... une famille. Porter le masque devenait plus aisé à garder, et le fait d'être un peu plu compris semblait reposant, sans pour autant qu'il ne l'avoue. Cet aveux ne viendra certainement pas de lui même en vérité.

Relevant ses pupilles aussi grise qu'un ciel orageux, le noble Kuchiki observait alors le visage doux et attentif de son homologue, venant à répondre en silence à ses premiers propos en inclinant lentement son menton vers le bas. Ce n'est pas lui qui dirait en effet, le contraire. Il était loin d'imaginer le réel passé de cette capitaine, mais il avait toujours tâché de respecté la vie privé des autres, comme il aimait qu'on en fasse autant envers sa propre personne. Sans parler qu'il respectait cette femme, au même titre qu'Ukitake. Toutefois, Byakuya cru entrevoir de la retenu chez Unohana peu après qu'elle ne lui parle de son ancienne subordonnée. Cela l'intrigua et il garda cela dans un coin de son esprit cartésien, tandis qu'il avait l'impression de se revoir dans un passé, pas si antérieur que cela. Elle parlait de faire son devoir.. une tâche parfois difficile quand il s'agissait d'une personne que l'on estimait. Le capitaine revoyait encore son ordre de mission quand à ramener Rukia à la Soul Society. A ce moment là, il n'avait pas imaginé que la punition irait jusqu'à sa condamnation. Bien que ses traits restaient inchangé, il y eut comme une brume dans son regard. Ceci ne dura qu'une seconde ou deux avant de disparaître. Bien que calfeutré au fond de son être, il s'en voulait encore de ne pas avoir sû prendre la bonne décision dès le départ. Il lui avait fallu un affrontement avec Renji, puis Ichigo pour réalisé sa place...Et s'offrir une belle cicatrice non loin du cœur.

Le noble ressentit quelque chose d'un peu ironique en constatant qu'Unohana était là lorsqu'il s'était confié envers sa cadette... Elle connaissait toute l'histoire. Lui qui ne parlait jamais de sa personne et encore moins de son épouse. Combien d'hommes trop curieux auraient aimé être aussi proche pour l'entendre ainsi se confier ? Le fait qu'elle sache tout ceci le rendit un peu mal à l'aise, mais pas dans le sens que cela n'aurait jamais dû être. Byakuya assumait pleinement ses paroles. Mais c'était plus dans l'idée d'avoir franchit le pas de la confession. Balayant cela mentalement, le chef de clan se contenta de répliquer de sa voix atone et grave :  



Je comprends parfaitement votre position. En tant que Soldat, il nous arrive parfois de devoir agir comme nous le devons, et non comme on le voudrait.


Il fit alors une courte pause avant de marquer lui même une hésitation.


Vous sembliez vouloir me demander quelque chose, je me trompe ?



Mer 3 Jan 2018 - 12:42
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Qu’importe le désir de réponse d’Unohana son devoir premier est de rétablir la santé des corps souffrants. En observant méticuleusement Byakuya ou surtout ses mains trahissant son état de stress à contenir une colère prête à exploser au mauvais à l’image de la nitroglycérine. Les mains ont gagné en fermeté, signent qu’il commence déjà à guérir avant même d’avoir pris le traitement ? Ou alors les effets secondaires tendent à s’estomper une fois lui-même relaxé. Un bon signe, le mental a toujours joué un rôle important dans la guérison et ce n’est pas ses siècles d’expérience qui lui démentiront ce constat. L’esprit des vainqueurs qui ne serait laisser les épreuves les mettre à terre sans avoir tout donné. Dire qu’elle possède encore cet esprit pour une passion demandant en fin de compte une forme de science dite plus raffinée que celle du combat. Les corps qu’elle c’était plus à déchiqueté et trouver la méthode la plus rapide afin de les éviscérer aujourd’hui avec une pointe de regret elle s’attelle à les réparer. Un regret qui s’estompe aussi prestement qu’il apparaît en se rappelant qu’aucun ennemi intéressant ne peut se présenter devant elle. Peut être le félon Aizen, mais ce n’est pas son rôle d’agir et le reste du gotei treize devrait suffire à cela.

La doctoresse doit cependant attendre encore avant d’avoir une réponse. Bien qu’elle comprenne effectivement son désir, elle ne voit pas comment la soul society pourrait évoluer si ceux qui désir la changée sont vu comme des traîtres. Retsu souhaite bien l’aider, mais sans aller à l’encontre de sa fonction, chose qui demeure impossible. Surtout que pour le moment elle voudrait surtout la revoir au sereitei pour revenir soignée dans sa division et non subir une sentence de mort à la potence. Une position que devait connaître son jeune homologue, lui qui dû jongler entre deux promesses qui ne pouvaient être tenues en même temps. Les deux premières phrases de Kuchiki furent accueillies stoïquement par Unohana. Une réponse des plus protocolaire, pas celle qu’elle attendait, mais celle qui est convenue. Cela ne l’aidera pas dans sa réflexion et au fond elle fournit sans doute des efforts vains pour savez sa subordonnée. Seulement, elle entendit l’hésitation dans sa courte pause dans sa tirade. Elle salua l’intellect du noble qui comprit sa demande sans qu’elle ose la formuler. Viens alors un dilemme doit-elle lui soumettre sa question ou doit-elle le laisser partir et trouver elle même la réponse quand bien elle ne lui conviendrait nullement ? Après une longue hésitation d’une dizaine de secondes, elle ose franchir le pas d’une voix douce et posée. Veillant à ne pas trahir son incertitude, une marque qu’elle ne peut se permettre de laisser. Non pas qu’elle voit Byakuya comme un mauvais gardeur de secrets, mais entre capitaine à la relation assez distante, elle sentait qu’il fallait garder une forme de force même dans la délicatesse.

- Oui. Cependant avant de m’exprimer je préfère vous prévenir qu’il est libre à vous de répondre ou non à ma demande. Cela concerne vos promesses qui ont mêlé votre devoir personnel et professionnel. Comme êtes-vous parvenu à décider de la marche à suivre ?

Elle sentit comme une possibilité d’une mauvaise interprétation de ses paroles. Dans le sens dont cela risquait d’être reçu comme un reproche ou un jugement des actions de l’aristocrate.

- Sachez juste que je ne critique en rien votre décision finale. C’est davantage le cheminement de votre pensée qui m’intéresse.

En dépit de ses espoirs, elle ignorait si elle verrait une solution à son problème épineux. Cependant si elle ne peut épargner Nadeshiko de passer sous sa lame alors elle préfère qu’elle ne soit pas retrouvée où qu’elle se rencontre à nouveau. Mais suivant la réponse du capitaine de la sixième division alors peut-être aurait-elle une piste pour épargner la vie de la traîtresse qui pourrait ne plus en être une si elle trouve un élément justifiant son départ dans ses notes ? Enfin, Unohana sait qu’elle ne peut modifier la réalité à sa guise et attendrait sans presser son homologue.
Dim 14 Jan 2018 - 14:49
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Kuchiki Byakuya
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Le contrôle. C'était le maître mot de notre Roku Ban tai Taicho. La frustration était une chose qu'il avait appris à maîtriser malgré un esprit tumultueux qu'il possédait depuis sa naissance. Cependant, peu pourrait témoigné de ce temps là. Sauf peut être cette femme ici présente. Le fait est que de savoir qu'il allait enfin avoir le remède à ses soucis l'apaisait déjà. C'est sans doute ce que l’œil avisé d' Unohana avait perçu en le contemplant.  Leur regard se croisèrent un instant, et la pensée d'avoir offert cette porte ouverte, commençait à avoir des airs de danger. En effet, Byakuya n'avait pas pour habitude de parler de sa personne, ni de parler des autres en vérité. Mais en concédant qu'il notait une hésitation de sa part, laissait place à une interrogation certainement personnelle. Cette femme qu'il respectait, le connaissait. Elle savait ce qui pouvait ou non l'intriguer ou le gêner.  Eh bien soit, il affronterait cela, venant à rompre ce contacte visuel, en laissant ses paupières s'abaisser tel un rideau. Ceci lui donnait un air grave et détendu.. un visage fortement adulte. Mais le silence ne dura point, car enfin cette voix féminine  qui pouvait faire trembler le plus téméraire d'entre eux vint alors à retentir. Une question des plus pointilleuse et dérangeante...Replongeant notre capitaine de la Sixième Division dans un passé pas si éloigné. Il pouvait encore ressentir la froideur de la lame de Gin s'enfoncer en son sein, effleurant de peu son cœur. Les bras de Rukia autour de son cou.. Son souffle sur son front  tandis qu'elle l’appelait, le goût du sang dans sa bouche, le poids de son propre corps chavirant.  Puis enfin l'apaisement apporté par des soins bienvenue. Byakuya avait alors réalisé qu'il était allongé sur le dos et qu'Unohana se tenait à ses côté.. l'absence de sa cadette s'était fait sentir et il  l'avait alors réclamé d'un son à peine audible. Ce qu'il avait alors pu confesser, cela avait été forcement entendu par cette femme.

Mais ce qui l'avait amené à devoir se sacrifier pour Rukia, c'est bien les paroles de Kurosaki Ichigo. Cela lui avait ouvert les yeux, comme quoi les règles pouvaient amener à une mort certaine si l'on ne prenait pas garde à parfois les critiquer. Un cheminement aveugle n'est pas concevable. De ce fait,  rompre cette promesse absurde envers ses parents lui paraissait importante, car eux même l'auraient jugé tel un monstre pour avoir sacrifier celle qu'il avait juré de protéger.  Malgré tout, il restait un fait que le noble se devait aussi de corriger, encore à ce jour. Byakuya se devait d'être un véritable frère à présent. C'est pourquoi il prenait plus de temps pour sa cadette et tentait de ne plus la freiner comme il le faisait auparavant. Depuis sa capture, il avait un peu erdu pied vis à vis de cela, mais en définitive, ses objectifs n'en étaient devenu que plus nets.



J'ai simplement suivi la voix de mon cœur sur ce sujet. Les règles peuvent parfois être contestables et injustes.


Lui qui avait toujours été partager entre la voix du cœur et celle de la raison...il tentait d'y trouver une harmonie entre ces deux points. Bien sûr il restait un des Taicho les plus appliqué concernant le devoir et les lois. Mais il se faisait toute fois plus critique... acceptant cette part d'impulsivité qui le possédait alors enfant. Cette passion qui lui avait fait prendre le chemin d'épouser Hisana. Sur ce, Le noble préféra se reculer un peu, comme signe qu'il préférait ne plus parler de cela plus avant. Cependant il ne partira pas tant qu'Unohana ne le lui dise. Après tout elle venait de lui confier son médicament et la dose qu'il devra employer. Oui l'impatience coulait dans ses veines et la frustration bien qu'en sourdine, mordait en ses muscles. Une tension épuisante  pour finir. Le noble se sentait fatigué. En effet,  tout ce contrôle en longueur de journée, le rendait moins efficace envers son travail. Enfin beaucoup dirait que cela ne se voyait pas. Mais lui ne l'ignorait aucunement.



Jeu 25 Jan 2018 - 12:10
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Unohana peut le voir, le stress de Byakuya diminue. Simplement savoir qu’il possède désormais le remède à son à du déclencher un petit effet placebo l’aidant déjà à guérir. Dire que le gamin qu’elle a connu alors qu’il s’entraînait parmi les siens au sain de son clan et devenu le jeune homme qui allait l’aider. Elle a beau être une des plus anciennes shinigami encore actives, il y a des expériences qu’elle n’a pas eu à vivre. Et connaître l’avis d’une personne ayant connu ce qu’elle risque de vivre n’en sera que bénéfique. Lui qui alors s’était juré de tuer sa sœur de ses propres mains, qui au bout du compte au dernier moment de la protéger de son corps. C’était la première fois que la doctoresse vue le noble dans un état aussi déplorable qu’alarmant. Sans soin, l’aristocrate ne serait déjà plus en dépit de sa résistance. Après ça elle put noter que le chef du clan Kuchiki parut moins sévère, quand bien mieux il garde encore cette rigueur qui le caractérise.

Finalement, la réponse tant attendue arriva. Simple et difficile à entendre. Retsu avait anticipé que la réponse ne serait point fermée. Tenant davantage du début de piste à ce quelque cherche réellement plus qu’une réponse à proprement parlé. Comme senti avant elle découvrira la marche à suivre une fois qu’elle rencontrera à nouveau Nadeshiko. Cela la blesse de penser à l’éventualité de devoir exécuté une de ses guérisseuses alors qu’autre fois elle dû l’aider à surmonter des épreuves dans la vie. Son homologue de la sixième division recula, visiblement il ne souhaite plus continuer sur cette conversation. La dame de la quatrième comprenait tout à fait cela et n’essayerait pas de le retenir plus longtemps.

- Je vous remercie. Je ne vous retiendrai pas plus longtemps.

Ils se dirent au revoir avec toutes les politesses. Le jeune Byakuya savait où trouver la capitaine de la quatrième division si jamais sa santé venait à défaillir. En espérant qu’il aille vite mieux, qu’il se repose notamment. La concentration pour ne pas exploser de colère devait le fatiguer plus de raison. En dépit qu’il ne montre en rien que cela l’atteint. Quant à Unohana, elle allait devoir analyser les affaires de la traîtresse afin de trouver s’il n’y a pas d’autre raison à son départ. Elle prendrait du temps pour le faire, car elle ne peut se permettre de négliger le reste de ses activités pour une personne qui est absente au sereitei.
Lun 5 Fév 2018 - 15:35
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