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Parasite [70%]
Anonymous
Invité
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Parasite [70%] 1517944056-beyond2
❯ FEAT : Asura by Soul Eater.
Carte d'Identitée

"Et toi... Connais-tu ton nom ?..."

❯ NOM : N/A.
❯ PRENOMS : N/A.
❯ SURNOM : Beyond the Yermo.
❯ ÂGE  : Des éons qu’il ne saurait décrire.
❯ SEXE  : Masculin.
❯ DC  : N/A.
❯ GROUPE : Arrancar.
❯ DIVISION : N/A.
❯ RANG : Le Numéro d’Espada disponible. Symbolisant la Peur.
❯ SPECIALITE : .

Beyond est totalement neutre. Il sert en tant qu’Espada pour Las Noches uniquement dans la quête d’avoir un but dans sa longue existence.



"Beyond the Yermo". C’était le nom qu’ils lui avaient attribué. Cette entité qui se tenait « Au-delà de ce Désert Blanc » depuis bien des générations, maintenant. Sa présence, sa posture et son portait, ces éléments faisant de cet être, la créature qui, en son temps, avait tant animé les mythes et les histoires dans le Monde Creux. Ce physique était la première brique, celle qui engendra tous ces récits. Une curieuse symbiose entre l’horrifique et le pittoresque, la carrure comportant tout ce qui ne pouvait plus s’apparenter à l’humanité, le réel. L’être rachitique était décrit comme immensément long, à en perdre toutes notions, ce qui était sans aucun doute une exagération. En le détaillant un peu plus, il était facile d’observer que ce n’était pas tout à fait vrai. Ce qui différentiait était son envergure, totalement anormale, la créature difformait. Il mesurait un peu plus de deux mètres pour une masse exécrable en comparaison, d’une quarantaine de kilogrammes, supportant deux longs bras pendouillant qui mettaient à l’épreuve des épaules aussi sèches que l’air dans le Hueco Mundo. Il avait un aspect représentatif de sa misère et de sa négligence.


Ils pouvaient se compter sur les doigts de la main, ceux qui pouvaient se lorgner d’avoir aperçu le portrait de l’entité. De par sa parure et de par ses très rares apparitions, peu connaissent les sourires qu’il arbore. Un vis-à-vis qui ne déroge pas aux règles implantées par son physique désavantageux. Le faciès de la créature pouvait être décrit comme empreint d’une certaine touche de malaise, quelque chose de dérangeant, dérisoire. Il avait un aspect androgyne, à cause des très fins et juvéniles qui arpentait celui-ci, contraste, pour un être qui errait depuis si longtemps, déjà. Une fine bouche qui n’émettait que rarement du son, un nez court qui avait bien trop inhalé l’air putride et ce regard fixe et si singulier. Une vision qui s’accentuait à cause de ses iris aux pigments hémoglobines, dénués d’une quelconque lueur. Singulier, car l’entité détenait une particularité, une incohérence sur le plan humain résultant du vestige qu’il avait été avant d’ôter cette extension qu’il portait au visage. Un fragment qui n’avait pas quitté son front, ce reste d’os et d’organe qui formait son troisième œil, tantôt dissimulé sous cette toison formant sa chevelure.


Une toison d’une longueur respectable et équitable, elle était ébène, simple, mais grasse. Grasse à cause de sable et de sueur engorgés dans cet amas de poil. Son ancienne vie lui avait également laissé d’autres présents, cette matière osseuse formant l’identité même du Hollow s’était perdue sur quelques-unes des mèches dont il avait été pourvu. Il ne se coiffait pas, il n’avait certainement aucune notion de ce qu’était le soin de l’apparence, la beauté du corps, l’être primitif ne s’en souciait même pas. Tout comme sa démarche, cette façon amorphe de se mouvoir presque mécanique et abominable, il était vide du sens. Ceux qui l’avaient vu étaient capables d’en témoigner. Aucune once de bon sens ou de cohérence. Il ne dégageait rien, si ce n'était de l’incommodité. Ce malaise empreignant son portait était dissimulé de la réalité. Ce tissu chaud qui lui rappelait ce qu’il avait été, quand il avait encore cette ossature qui le parait, lui offrant cette impression de protection.



La déité ne demeurait pas nue, dans le présent, du moins. Il s’était affublé d’attirail il y a de cela quelques années, quand il prit conscience de son retard. Quand il comprit qu’en évoluant, il avait acquis un nouvel aspect, vivant et toutes les extensions qui étaient habituellement présentes avec celui-ci. Il se présentait dans le « Yermo » portant un manteau en tissu rougeâtre, bien trop long pour s’y affubler, les manches recouvrant l’intégralité de ses mains. Il ne l’a boutonnait pas, laissant aux rares âmes errantes croisant son chemin la pleine vue sur son abdomen. Un simple bas sombre garnissait ses ingrates cuisses, ample et qui embarquait même ses deux pieds aux ongles noirâtres. Il n’avait d’ailleurs rien pour les couvrir, les plantes de ceux-ci en contact permanent avec ce sol en poussière. Ce qui n’échappait pourtant pas était ce qui ornait le plus souvent son crâne, cette singularité constituée de tissu et qui s’enroulait entièrement autour de celui-ci. Un ruban blanc qui bouchait sa vue et celle d’autrui sur ce qu’il était, son épouvantable apparence.


Ils n’étaient pas nombreux, les êtres ayant détaillé l’entité. Ainsi, voir que l’espace béant qui lui servait de « Trou », si caractéristique des Hollow, se trouvait juste sous son nombril était une tâche ardue. Apercevoir que le symbole qui le rattachait à Las Noches et aux Espadas était inscrit sur sa paume gauche, quand il se décide à retrousser ses manches, était également une tâche du même acabit. Le mystique était angoissant, son langage corporel était angoissant. Ceux qui l’avaient aperçu disaient ressentir de l’inconfort, de la détresse à sa vue. Que « ça » ne marchait pas, qu’il était naturellement impensable, infaisable de pouvoir déambuler comme il le faisait lui. Amorphe, presque informe, la longueur de ses jambes ralentissait ses pas et il avait les bras et le cou ballants, comme dépourvus d’articulations et d’existence.





Et toi… Connais-tu ton nom ? Une phrase imprimée dans le conscient qui va, machinalement, être dite à chaque rencontre. L’Être qui se tenait Au-delà du Désert était un complexe à lui seul, un mécanisme possédant des facettes qui en possédaient d’autres.


L’entité était antithèse. Une âme sibylline qui ne se mélangeait pas. Il était décrit comme seul, arpentait ce Monde, ayant conçu sa survie. Au vu de ce qu’il était, il n’avait peu ou pas de conscience, de bon sens. L’être était atypique. Ceux qui avaient eu l’opportunité d’entendre sa voix outrepasser ce ruban qui recouvrait son portrait pouvaient témoigner du ton qu’il prenait, si singulier. Son dialecte était empreint de cette folie qui caractérisait son aspect. Une voix distordue, variant de l’aigu au grave sans aucune raison, variant de la bonté à l’atroce. Il était comme ça, « ça » n’avait pas de sens. Il pouvait s’arrêter puis courir, sans raison. S’asseoir et se coucher, dans la seconde qui suivait. Converser puis tuer, dans une émulation d’instinct. L’humeur de la créature était fragile. Il avait perdu son discernement dans le sable du « Yermo » qu’il détestait tant, il y a de cela des éons. Un désert qu’il exécrait à cause de sa pâleur, son néant auquel il était accoutumé.


La déité répondait davantage à l’appel des sens qu’à toute autre impression, de toute nature. Monstre nocturne, n’apparaissant au soleil que si contexte singulier. Des matinées qu’il passe à se cacher, se morfondre, sommeiller bien loin de l’agitation. Il ne ressentait plus la faim, mais happait tout être qui dérangeait un tant soit peu son bien-être, qui trouvait son antre. Il ne semblait pas le faire par désir, beaucoup disaient que « ça » semblait plutôt révulsé au moment de l’acte. Il le faisait pour préserver son anonymat, sa protection. Il était en proie à la peur, primaire, de tout ce qui l’entourait, de ce qui pouvait l’entourer. Le frisson de l’inconnu, du renouveau. Du trépas et de l’étape franchie. D’être et d’avoir. La peur de la peur. L’animal poussait aussi des cris lorsque qu’il était un temps soit peu surpris, dans un élan d’intenses émotions. Il jaugeait uniquement à l’instinct, jugeait principalement au flair. Bête de la Bête.


N’était-il qu’une créature demeurant uniquement animée par ses sensations ? Affolante bête qui pourtant, capable de parole, comme toutes les autres. Capable de communiquer, d’assimiler et de tenir une discussion s’il y mettait ne serait-ce que l’envie. « Ça » se contentait le plus souvent de gestes ou d’onomatopées brouillonnes pour appuyer ses quelques pensées disaient-ils tous, comme l’être alpha qu’il semblait resté. Il omettait également des réponses, ne donnait parfois tout simplement pas suite à un dialogue, sans préavis, sa tendance s’altérant à tout instant. Dans ce cas-là, il oubliait complètement l’opposant, celui qui se dressait vis-à-vis de lui, se tournait et s’en allait vers une nouvelle quête, avec sa démarche irréelle. En face de cette situation, l’interpeller était futile, sans réel impact sur le nouvel objectif qu’il s’était fixé, bien loin de l’espièglerie, de la malice. Ici, parler de pure inconscience était le mot adéquat.


Obsédé par la quête d’une identité, d’un patronyme. L’entité était en pleine crise intérieure, ne savait pas où se situer, où il en était. Il avait perdu notion du temps il y a bien des années déjà, notion de l’écoulement, notion de lui-même. Un être désorienté qui s’était fixé une quête lunaire, une âme errante qui avait un songe. Retrouver son identité, d’antan, d’une vie déjà usée par le temps. Il n’appréciait guère celui qu’ils lui donnaient, ces semblables, ne se qualifiait même pas pour parler de sa personne, se considérant comme vide, incomplet. Le « Beyond » serait pourtant le nom d’emprunt qu’il prendrait pour se repérer, celui que d’autres lui avaient attribué par le comprendre. Aussi, avait-il pour routine d’exiger l’identité de tous les êtres qu’il rencontrait. Évaluait-il la singularité, la prononciation du nom en question, finissant ainsi par demander s’il pouvait voler cette identité à celui qui l’a possédait déjà, le sourire terrible jusqu’aux pommettes.


Sa capacité à ressentir s’était envolée avec son bon sens. Antipathique, in compassionnel, in affectable, intolérant, intransigeant. La douleur lui était lointaine, la véritable peine. Incompréhensible. Ses centres d’intérêt n’étaient pas souvent les mêmes, le jour qui suivait. Il se distrayait différemment, trouvait amusement dans différentes situations, aussi curieuse soit-elle. Aussi cruelle soit-elle. Il avait déjà occupé ses nuits à observer ses congénères, compter les grains de sable des immenses dunes ou les secondes, avant l’aube. Il avait déjà accepté qu’un être se tienne à ses côtés, pendant une période, s’accoutumant à sa présence et plus tard, ne lui trouver d’intérêt particulier. Le considérer comme une gêne, un être menaçant, qui l’apeurait, en une fraction de seconde et lui arrachant la vie d’un coup sec, dans le temps restant. Une exécution sommaire, n’éprouvant aucune humanité, uniquement son perpétuel néant.


Le Mystique avait beau être sujet à toutes les controverses, ce qu’ils remarquaient tous était cette absence. Une carence totale de présence, de charisme. Complexe. Il n’était pas un transparent, bien au contraire, mais sa carrure, ce qu’il représentait, ce qu’il était, renvoyait au pitoyable. Il intriguait, n’impressionnait pas. Il déplaisait, n’enchantait pas. Il tourmentait, n’était pas désiré. L’entité était plate, sans relief, d’une froide langueur si molle qu’il en était déprimant. C’était sans aucun doute grâce à cela qu’il put se cloîtrer pendant si longtemps, à épier tout ce qui était scrutable. Dans le Monde Creux, Ils racontaient que les rares fois où « ça » daignait sortir de son trou, son antre, agir était un fardeau. Il déployait une mauvaise volonté, une certaine lenteur et une indifférence réaliste, traînant le corps dans son entièreté. Le regard perdu s’ils avaient la chance d’outrepasser le ruban qui couvrait son visage, les iris tantôt vers le ciel et tantôt encré sur le sable.


Sa folie lui donnait une facette chaotique, il avait ce naturel, ce côté enclin à ouvrir les portes de l’anarchie, déclenchant celle-ci, la rependant sous sa forme la plus simple et la plus pure. Il ne s’en voyait pas l’obligation, seul le mécanisme qu’il était, était volontiers porteur de chaos et de désordre. Il avait rejoint Las Noches, mais demeurait cet être hermétique à toute forme d’autorité. Être d’instinct, il n’était mâté que quand son vis-à-vis prônait la loi du plus fort, celle du Monde Creux et que celui-ci déterminait l’ordre de la Chaîne Alimentaire. Si « ça » était malencontreusement plus fort, essayer de lui affubler un ordre était impossible, irréel. Il se contenterait de « manger » la tête du dirigeant, pour reprendre sa liberté et ne plus connaître la crainte. Être d’instinct encore une fois, il se plierait instantanément s’il ne se sentait pas capable, ne prenant même pas le risque de jauger l’être en question. Aussi, peut-on s’attendre à ce qu’être sous le joug d’un souverain finisse par le lasser et qu’il y mette un terme rapidement, quels que soient les moyens utilisés.


Mâle sans attache, déité égarée, proie d’images douloureuses qui le tourmentait. Sujet à des questions existentielles sur son identité, sa quête. Entité instable, difficile à prévoir et à anticiper. Prédateur effrayé à l’idée d’être prédaté. Une enveloppe de frisson et de méfiance qui stérilisait tout ce qu’il pouvait bâtir, tout ce qu’il était capable d’amener. La peur peureuse elle-même, l’être épouvantable. Fait de peur, émanant cette peur, ressentant celle-ci, étant mort à cause de cela. Il était une terre pure comme le désert et qui ne savait rien de son environnement, des évènements, dont il est resté coupé depuis bien trop longtemps.


Sur cette plaine vierge, froide et aride, pouvait-il enfin fleurir ?







Expert Sonido User : Technique de déplacement à haute vitesse des Hollows. Il est semblable au fameux « Hoho » des Shinigamis à un détail près, le son généré par la course. Un bruit sourd et statique. L’entité possédait une maîtrise, une aisance de déplacement remarquable, capable de parcourir de longue distance en peu de « saut », de disparaître tel un vent. Il n’égalait pas certains Maîtres dans ce domaine, surpassait de nombreux semblables. Un Sonido d’Espada.


Master Hand-to-Hand User : Symbiose entre puissance et style de combat. Basé sur la capacité à utiliser le corps, à se battre sans autre artifice, déterminant la pure force physique. La bête, primitive, avait les griffes aiguisées, le Corps-à-Corps étant son domaine de prédilection. Il se battait comme il savait le faire, ne se démarquait pas tant par des gestes ou des postures mais, par le réalisme de ses offensives. Le Pugilat dans sa forme la plus simple : coups de poing, de pied ou de tête, habillés avec une surpuissance latente qui se détachait, une force gargantuesque. En état de Résurreccion, sa force est d’autant plus chaotique.

- Tocar : Ne possédant pas de technique à proprement parler, style de combat trop simpliste, néanmoins, lui permettant une fantaisie. Concentre et densifie son Reiatsu dans une partie hasardeuse du corps, bras, pied, coude, doigt, l’expulsant brusquement lors d’un contact, pure onde de choc. La puissance de l’impact variant selon la « charge » de Reiatsu prise au préalable.


Master Pesquisa User : Technique de détection et d’extinction de Reiatsu des Hollows. Diffuser une impulsion de Reiatsu dans un certain périmètre pour repérer les êtres qui s’y présentaient, les évaluer. Réfuter tout signe de Reiatsu, de Reiryuoku pour éteindre sa présence. Le captif était resté longtemps caché, le Pesquisa demeurant le seul pont qui le reliait encore au Monde Creux. Deuxième atout, son « flair » était d’une précision mécanique, effarante. Il pouvait étendre son Reiatsu sur des distances effrayantes, comme un animal marquant son territoire. Sa détection était chirurgicale, capable de déterminer le nombre, la nature et l’attitude. Aussi, savait-il s’éteindre brusquement, ne donner plus signe de présence, d’existence hormis pour ceux qui étaient affublés d’un Pesquisa de son acabit.

- Vista : Capacité passive, non-technique, que possède le vestige grâce à des éons d’utilisation intensive de son Pesquisa. Un Pesquisa d’une précision mécanique, non-dépendant de sa vue physique. Radar lui permettant, les yeux fermés ou obstruer par son ruban, de percevoir les êtres animés ou inanimés autour de lui, dessinant l’espace autour de lui pour se situer. Il différencie aisément les formes de vie, leur singularité se manifestant par différentes nuances de couleur variant entre les individus.

- Riò : Brute. Une libération sèche de Reiatsu, dans sa forme la plus pure. Le cataracte carmin  s’abat et fait peser sa densité sur une certaine zone. Technique de détection, cette vague d’énergie n’est pas faite pour apeurer, malgré une certaine forme d’affirmation de territoire. L’attention de l’entité est acérée, se portant sur toutes les choses perturbant son émanation d’énergie, tout être venant remuer son océan rouge. Précision chirurgicale, il arrive à mesurer les valeurs et les actes, passer outre les supercheries ou autres artifices.


Expert Cero/Bara User : Capacité des Hollow à pouvoir emmagasiner du Reiatsu, le convertir et en générer de l’énergie pure qui sera projetée. Le Bala est une des techniques naissant de cette capacité, tir d’énergie « mineur » dont la force réside dans sa vitesse de projection, son nombre et son temps de création relativement court. Le Cero, quant à lui, technique primaire de cette capacité, puissant rayon chargé, la force résidant dans sa puissance et sa portée, lent à l’exécution cependant. Le Cero est sans doute l’une des techniques les plus puissantes à la disposition des Hollows. L’entité était un bon tireur de Cero, sans plus, favorisant celui-ci mais, s’étant exercé au Bala quelque fois. Son Cero était puissant, dû à son rang mais, comportant l’inconvénient de lenteur. De couleur carmin, la créature tirait le rayon de sa bouche béante.

- Grand Rey Cero : Technique propre aux Espadas. Un Cero beaucoup plus dense et ravageur, plus lent à la préparation également. Sa puissance est telle qu’user du Gran Rey Cero à Las Noches est interdit. L’entité le tire de sa main.

- Llamacero : Pur incandescence, la matérialisation d’un Reiatsu dense et crépitant qui se mettra à brûler simplement, au contraire de tous les Ceros qui réduisent en centre uniquement lors de l’impact. Symbiose entre l’énergie et les flammes, le Reiatsu carmin formant la technique pourra être projeté, une immense colonne étincelante s’abatant comme un glas.

- Cero(s) Ocular(s) : Technique propre à La Déité. L’entité joint ses mains, paumes raides, maintenant cette position statique pendant un instant. Reiatsu se densifiant, de vastes cercles d’énergie se matérialise à quelques centimètres de la bête, prenant l’aspect d’immenses iris carmin ; et vibrant, crépitant avant d’être relâchés, un Cero grésillant s’échappant de chaque cercle de Reiryoku, venant s’abattre avec fracas. L’entité peut concevoir jusqu’à trois iris lors d’une seule et même attaque.  


Hierro User : Technique de densification de la peau des Hollow. Condenser le Reiryoku sous l’épiderme pour densifier la solidité de la peau, rendant celle-ci imperméable aux simples coups de lame ou à certaines techniques énergétique. L’animal possédait un Hierro simpliste, sans grande fantaisie. Il était un utilisateur lambda, qui le possédait sûrement uniquement parce qu’il était Hollow, Menos Grande de surcroit. Il n’avait pas cherché à le densifier, il n’avait pas cherché à le tester. L’entité était de ce fait imperméable aux simples coups tranchants ou contondants, capacité rapidement inutile quand la force de l’ennemi s’intensifiait un temps soit peu. Il ne s’essayait même pas d’ailleurs à encaisser. En état de Résurreccion, son Hierro est légèrement amélioré à cause de la matière qu’il arbore sur son physique.


Expert High-Speed Regeneration User : Capacité permettant aux Hollows de guérir de blessures allant de bénignes à irréversible en un temps record, selon l’individu. La manipulation des cellules augmente la vitesse de guérison, des plaies se refermant rapidement, des membres repoussant instantanément. La Déité avait une Régénération prodigieuse, tout de même. Elle n’était pas instantané à proprement parler, permettait à la bête de perdre un bras une fois sans se soucier de la situation, plein de fougue. Quelques minutes étaient suffisantes pour récupérer un membre entier, le faire successivement n’était cependant pas bon. Trois fois, sûrement. Il craignait pourtant toujours la mort, ne pouvant, par exemple, pas régénérer un trou béant dans l’abdomen ou le fait d’être réduit en charpie.

- Purga : Technique peu élégante, utile à souhait, donnant à la Déité la faculté d’extraire les substances nocives dans son organisme en en l’évacuant par voie buccale, sous la forme d’une bile. Efficace contre tout type d’empoisonnement.

- Muda : Lorsque l’entité nie sa douleur complètement, impose à son être de reprendre son aspect, sa peau réagit étrangement. Elle se détache petit à petit, permettant à la bête de muer complètement, de revêtir un nouvel épiderme qui ne serait pas affecté par tous les hématomes subis.


Zanjutsu Practicioner : Style de combat singulier. La capacité à se battre avec son Zanpakuto, lame contre lame, le métal grinçant lors des chocs puissants. Un Art Martial au Sabre déterminant la puissance lame en main. Il possède un Zanpakuto ? C’était ce qui se disait sur « ça ». « Ça » ne possédait pas de lame à proprement parler, son Zanpakuto matérialisé sous forme d’un objet nommé Vajra qu’il gardait dans son estomac. Il ne l’avait jamais utilisé comme arme intrinsèque. D’ailleurs, il ne l’avait jamais sorti pour autre chose que la libération de son pouvoir, ce vestige qu’était sa Résurreccion.










Invasor
(Envahisseur).
Le Zanpakutô de l’entité est une véritable question. Prenant la forme d’un « Vajra », objet singulier d’une trentaine de centimètres fait de bronze et d’or dont les extrémités prennent la forme de courtes lames. La créature, par peur d’omettre son écrin, l’avala, le stockant dans sa glotte et la régurgitant si besoin.


Bienvenida, Invasor
(Prolifère, Envahisseur).
C’est en annonçant cette phrase que l’être libère ce qu’il était à sa genèse, sa véritable apparence. Emanation d’un Reiatsu carmin dense, le vestige qui se retrouve couvert de spores et de miasme en tout genre formant un cocon. Cocon qui implose la seconde suivante, faisant de l’entité le sporange, l’épicentre d’une émanation d’organismes.
En tant qu’ex Vasto Lorde, sa stature reste assez humanoïde. Son corps prend de nouvelles proportions, une nouvelle étape de folie. Il grandit, ses membres devenant distordus, son squelette complètement flexibles, malléable. Il sera affublé par une matière blanchâtre, semblable à du tissu venant s’enrouler sur toute la surface de son corps, vestige de son ancien masque. Cette matière est aussi robuste que son propre Hierro et habille également la partie supérieure de son crâne. Le tissu est, lui aussi, souple, maniable et la Deité peut user des quatre excroissances résultants de cette matière comme des bras, pouvant les étirer tant que cela reste faisable.

La Bête ordonne aux petits envahisseurs, ce qu’elle demeurait en somme. Il conçoit, maîtrise et projette des microorganismes en tout genre s’apparentant à la pourriture et aux maladies. Il infecte à distance et au touché, expulsant les microbes par les pores de la peau, par le souffle, le contact avec sa propre peau, véritable nid à germes. Miasmes, spores et bactéries sont ses armes pour engendrer pourriture et infection.


Type de Pouvoir : Poison (Miasmes, bactéries et spores divers)




Vaporiza
Manifestation la plus pure de son pouvoir intrinsèque. Les pores du corps se dilatent lentement, l’entité devenant sporange, l’épicentre d’une émanation totale de microbes et autres impuretés. La diffusion aura l’apparence d’une brume blanchâtre, dense, toxique à respirer, toxique à y évoluer. Plusieurs effets naissent au contact prolongé avec les miasmes. Démangeaison, raideur des muscles, infection de blessures, problèmes respiratoires, poussé soudaine de moisissures et d’impuretés sur le corps. Les simples Hollows présents dans la zone d’émanation succombent rapidement tandis que les plus résistants seront tout de même mis à mal.



Vaishali Castillo
Technique qui n’en est pas vraiment une, transformation de zone. Le vestige doit émaner une grande quantité d’impureté, peu importe le temps pris, pour concevoir ceci. La brume blanche qui occupera l’atmosphère d’une vaste zone se densifiera, se consolidera et prendra forme. L’entité est capable de modeler sa brume blanche pour créer son vaste château, imposant, impérial dont il est le maître d’orchestre. Il peut ordonner aux murs, densifier les miasmes présents dans l’air. Palais blanc acre, certaines excroissances des murs possèdent des orifices capables d’expulser la même brume qui les consistent. Créer son Château est la technique qui lui requiert le plus de temps.



Impuro Baròn
Automate de germes et de microbes de la Déité. Création de la taille de son Maître, bien que son envergure l’emporte par rapport à celui-ci. L’être est semblable à une chenille, sa tête ne se différenciant pas de son torse, armé de mandibules et de multiples petites pattes, rampant pour se déplacer. La marionnette est faite exclusivement de microorganismes en tout genre, le simple fait de la toucher physiquement revenant  à s’empoisonner à petit feu. Le pantin est capable de cracher sa consistance sous forme la forme d’une brume blanche toxique. Beyond est celui qui contrôle son entité, même-ci la créature aime à dire que sa création possède une volonté, se nommant Bindusâra, le Prince Impure, symbiose d’un amour entre le Roi et sa Princesse. Construire le Baron Impure n’est pas une tâche ardue, sa création la plus rapide à la création.



Impuro Princesa
Puissant Automate de germes et de microbes de la Déité. Création se rapprochant des sept mètres pour une envergure assez importante. L’objet possède un faciès, sans membre, un corps semblant affublé d’une longue robe, rampant pour se déplacer. La marionnette est faite exclusivement de microorganismes en tout genre, le simple fait de la toucher physiquement revenant à s’empoisonner à petit feu. Le pantin est capable, grâce à l’orifice placé sur sa tête, « avaler » plusieurs êtres de taille humaine, contaminant tout ce qui se trouve en son sein, pouvant également cracher sa consistance sous la forme d’une brume blanche toxique. Beyond est celui qui contrôle son entité, même-ci la créature aime à dire que sa création possède une volonté, se nommant Durdhara, n’étant autre que la femme dévouée du Roi Impure. Construire la Princesse Impure demande un certain temps, quelques minutes pour la conception.



Impuro Rey
Automate de germes et de microbes le plus aboutit conçu par la Déité. Entité d’une dizaine de mètre, d’une gigantesque envergure possédant six extensions semblables à des bras, un faciès et un torse. La marionnette est faite exclusivement de microorganismes en tout genre, le simple fait de la toucher physiquement revenant à s’empoisonner à petit feu. Le pantin a la possibilité de s’étendre, sur quelques mètres encore, à condition que son bâtisseur augmente sa proportion en miasmes, pouvant également cracher sa consistance sous la forme d’une brume blanche toxique. Beyond est celui qui contrôle son entité, même-ci la créature aime à dire que sa création possède une volonté, se nommant Chandragupta Maurya, un souverain intransigeant. Construire le Roi Impure demande un certain temps, sa création la plus lente à la conception.





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Parasite [70%] 30160440❯ Pseudo /Prénoms : Azz/Aymerick.
❯ Âge  : 20 ans.
❯ Comment avez vous trouver le forum : : Oh, hmmm. Top-site.
❯ Un avis quelconque : Pas spécialement… C’est bien, les forums Bleach se font rares alors j’suis aux anges !
❯ Code du Forum :


Jeu 8 Fév 2018 - 20:18
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Anonymous
Invité
Invité
Bienvenu futur collègue
Jeu 8 Fév 2018 - 20:37
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Tsukino Nadeshiko
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Tsukino Nadeshiko
Bienvenue à toi sur le forum!
Sam 10 Fév 2018 - 21:56
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Tsukino Nadeshiko
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Tsukino Nadeshiko
Bonjour, je viens aux nouvelles, tu t'en sors avec cette fiche?
Lun 5 Mar 2018 - 22:31
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Kuchiki Byakuya
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Kuchiki Byakuya
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Dim 25 Mar 2018 - 9:15
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