Voila déjà deux jours que la nouvelle circulait. Kuchiki Byakuya avait été capturé par l’ennemi.  Takouya n’avait pu entendre que de simple rapport à ce sujet, et n’avait pas tenu à  ennuyer Renji sur le propos, alors que ce dernier était encore aux mains des soigneurs de la Quatrième Division.  Le noble n’en montrait rien, mai sil était touché par cette absence. De loin c’était l’un des capitaines qu’il respectait le plus, et celui qu’il avait toujours prit comme modèle, et ce depuis son enfance. Plusieurs fois déjà il était venu dans le domaine des Kuchiki, accompagnant son père pendant les rencontres entre chef de clan. Cela lui avait permit de l’étudier bien souvent, et avec discrétion. Pourtant, jamais il ne lui avait vraiment adressé la parole, sauf par usage bien entendu. Il se pourrait même que Byakuya ne l’ai jamais vraiment retenu de mémoire.

Takouya venait de quitter la demeure de son clan, habillé de son uniforme et de son zanpakuto, il longeait tranquillement les rues habitantes, pour rejoindre le Gotei Treize. Il avait encore quelques traces de contusions, dû aux combats qui s’étaient déroulés ici. D’ailleurs, il y avait encore quelques traces de cette violence, apportée par ces traîtres.. Le paysage témoignait encore de leur souvenir, alors que le noble tâchait de mémorisé ce qu’il devra faire à l’avenir. Ne point omettre qu’il n’y avait pas qu’Aizen  qui visait à déstabiliser la Soul Society. C’était un constat assez sombre, mais cruellement réaliste. Qui plus est, Takouya ne se sentait pas encore assez accomplit.. il avait encore un long Hajra à parcourir avant tout.  

En son esprit Ghanima semblait en témoigner, longeant  de sa longue queue formée d’anneaux, les dunes du Sareer. Pendant sa journée de congé, suite à l’assaut, le jeune Shinigami s’était longuement entretenu avec lui et il en était ressortit qu’avec un visage plus grave encore. Le noble D’Ongil paraissait toujours aussi calme, jamais véritablement en colère. Il était pareil au désert, chaleureux… paisible… mais redoutable car absolument expéditif. Ce n’était pas pour autant qu’il fallait se méfier de lui. Mais il ne fallait surtout pas le prendre pour un homme sans caractère.  Son regard aussi doré que brillant d’intelligence, semblait être là pour le rappeler.

Son pas se fit un peu plus lent, tandis que son esprit errait dans les méandres de ses pensées. Sa main gauche reposait  sur la garde de Ghanima, venant à peine effleurer  de ses phalanges le petit poisson doré qui ornait  l’habillage… Une truite des sables comme il se plaisait à le dire parfois. Oui le monde du désert ne le quittait que rarement. Pas même en son langage… et cela vous allez en être témoin sous peu car….

Takouya  qui débouchait à peine d’un carrefour qui rejoignait le Gotei Treize, se sentit alors violemment percuté, rompant ainsi toutes ses songeries.   Une douleur vint à exploser au sein de son torse.. là ou les contusion était encore un peu trop sensibles,  forçant son visage à mimer une certaine souffrance…dans un froncement de sourcil. Sa chevelure  aussi blanche que la neige lui voila la vision quelques secondes encore, avant que son noble fessier ne rencontre enfin le sol, dur de pavé… Un grognement léger remonta le long de sa gorge, avant d’expirer à l’ouverture de ses lèvres pâles. Puis enfin remettant ses cheveux en arrière d’un geste aussi noble que calculé, Takouya redressa son visage pour voir qui était l’importun  Ses yeux dorés rencontrèrent  des traits bien plus juvéniles que lui-même.., voir Troublés par un mal qu’il pouvait déceler.  Bien qu’il ne le connaisse pas réellement, il trouvait qu’il avait une allure proche du clan  Kuchiki. Où bien était-ce une fausse impression. D’ongil savait pertinemment que les évènements actuels offrait beaucoup de maladresse et de confusion au sein de leur rang.. ce gamin.. en était une preuve flagrante visiblement..


Kull whahad… vous n’êtes pas le seul a rester dans vos pensées trop longtemps, mais  je ne suis point votre ennemi.

Fit il en se redressant sans même attendre la moindre aide. Takouya n’était pas du genre rancunier, alors qu’il offrait cette apparence tranquille qui le caractérisait. Il gardait encore son précieux carnet en son sein, tout en époussetant brièvement sa tenue… En son for intérieur Ghanima  avait sorti sa balisette pour jouer un air.. Bien que restant vigilant. Le désert ne dormait jamais… et semblait toujours en mouvement.

Parfaitement calme et le visage aussi doux qu’insondable, notre jeune noble se contentait de laisser le temps à son  juvénile interlocuteur, de se remettre aussi bien debout.. Que de reprendre ses esprits. Ce n’était nullement l’un des premiers venus, pour être à ce niveau là des quartiers riches.  De plus son air lui rappelait un peu quelque chose.  Quoi qu’il en soit, Hiô n’était pas aussi petit, et Takouya pas aussi grand qu’il n’y parait. En effet, il ne faisait qu’un mètre Soixante dix. Autrement dit… il y avait bien plus imposant que sa propre personne. Un très léger sourire vint à marquer ses lèvres fines, quand il entendit Hîrô repérer maladroitement ce qu’il avait pu dire sous l’effet de la surprise.  Encore une fois, notre noble Troisième siège avait parlé la langue du désert sans vraiment s’en rendre compte.

C’était quelque chose un peu déroutante.. Mais Takouya préférait qu’elle soit juste cela, plutôt qu’un prétexte pour se moquer de lui. Car sous ses manières douces et calmes, notre shinigami était un homme fort fier.. et très sérieux en chacun de ses actes. C’est ce qui trompait souvent l’ennemie par ailleurs. Cette douceur semblait véritablement une chose à redouter au final. Du moins si l’on était son ennemi. Tranquillement Takouya inclina son visage au devant du jeune garçon tout en reprenant un visage plus grâve  

KullWahad.. ce qui signifie «  Je suis bouleversé » bien entendu au sens littéral. Une simple expression de surprise du désert.  

Cela dit de sa voix aussi paisible que clair,  Takouya dû remettre l’une de ses longues mèches blanche derrière son oreille.. Celle la même qui soulignait pour ainsi dire son œil aussi doré qu’étrange peu être. Ce n’était pas si courant comme couleur. Venant à enfin entendre son nom, cela le surprit.. Ce n’était là qu’un prénom en vérité.. et dans ce coin.. les seuls à posséder une telle chose ne pouvait être que des serviteur.. hors.. Hirô ne ressemblait en rien à un serviteur.  Son habit était bien trop riche pour cela d’une part.. Même s’il restait simple et   sa manière d’être.. s’il avait été un homme de servitude, jamais il ne se serait présenté de cette manière, ni même relevé les premiers mots du noble. Cela aurait été pis qu’un affront.  De plus son reiatsu au repos lui indiquait qu’il faisait certainement partit du Gotei Treize. Il était maitrisé pour cela. Alors quoi.. Ce garçon se méfiait donc de lui ? C’était assez rare que l’on soit aussi méfiant face à un D’ongil. Sa famille était reconnue pour être des érudits. D’ailleurs, ils possédaient une grande bibliothèque.. mais toute fois pas aussi vaste que celle de la maison Kuchiki, leur Maison maître, bien que les D’ongil soient de haute noblesse.  

Mon nom est D’ongil Takouya, juste.. Hirô. Bien que je doute fort que vous ne soyez que cela au vu de votre éducation.

Il ne le jugeait aucunement, alors qu’il inclinait son visage pour se présenté, tout en lui rendant alors du même coup son salut. Seulement, il lui démontrait par là qu’il n’était point dupe et se savait observateur. Takouya pouvait facilement encore se tromper en haut de son jeune âge, mais il possédait aussi une certaine sagesse malgré tout. Ce qui lui faisait un certain charme mais aussi une prestance digne des héritiers de son clan.   Cependant à ses yeux. Il était clair que ce garçon présentement avait quelques ennuis.. et notre  Kyu ban tai San seki était loin de les connaître…. Si toute fois, Hirô voulait lui partager alors ce fardeau.  L’air était bien plus frais depuis quelques temps, et Takouya n’était pas férue du froid. bien au contraire… il était du genre à le fuir.. Surtout depuis que Ghanima s’était révélé à lui. Ce dernier d’ailleurs continuait sagement de jouer de la balisette.. N’écoutant que d’une oreille cette conversation. Tandis que son maître  venait tout bonnement de braquer son regard doré sur celui de son interlocuteur.. lui laissant une fois de plus tout le temps qu’il désirait pour lui répondre. Notre noble n’était point encore pressé de regagner sa Division. Mais.. il ne sera point en retard.. qu’on se le dise.  

Le noble restait sagement devant Hirô. Ce dernier avait véritablement l’air d’avoir des soucis, malgré le fait qu’il tentait de cacher tout ceci sous un aspect assez typique que l’impassibilité. Takouya était peu être jeune lui aussi, mais nullement dupe à ce genre de jeu. Lui-même était passé par cette étape de l’apprentissage et dans un sens, il comprenait cet automatisme de défense. Il n’y avait là rien à excuser quoi qu’en dise Hirô et de toute façon le jeune San  Seki n’en était pas rancunier. Il y avait bien d’autre chose à faire en ce moment que de s’agacer les uns des autres.. Alors que l’ennemi venait de frapper encore une fois un grand coup au sein du Gotei Treize, de quoi ébranler bien des esprits, même celui de Takouya à vrai dire. Car même s’il n’en touchait mot, le noble ressentait la brûlure cuisante de cette disparition.  Cet homme était un exemple des plus importants pour lui. Son regard doré ne quittait pas ce visage si juvénile et assez typique au demeurant des kuchiki. Ce dernier semblait se dévalorisé… refusant donc de proférer le nom de son clan ? Voila une chose qu’il ne devait pas.  

Vous portez un nom qui n’est pas sans mérite, quoi que vous pensiez. Cependant, en tant que shinigami on devrait  vous considérez avec un peu plus de respect, car en ce temps de guerre, tout repose sur notre cohésion à tous.

Il se rapprocha doucement du garçon et  vint à lui poser une main sur l’épaule. C’était là un geste assez surprenant pour un noble. En général ce genre d’approche paraissait considérer comme une sorte de familiarité. Mais en vérité, Takouya cherchait à faire comprendre qu’ils étaient tout deux dans un même navire.  Ils faisaient parti du Gotei Treize et que les considérations sociales n’entraient pas en compte. Sinon pourquoi avoir ouvert l’académie à tous je vous le demande. Bien qu’issu de la haute noblesse, notre D’Ongil possédait un esprit assez ouvert sur le sujet.  Ce garçon n’avait pas  à avoir honte de son passé comme de son futur qu’il se devait de dessiner lui  même.

Je pense que Kuchiki sama aimerait  vous voir  fort en vos actions, plutôt que de vous voir  avec ce genre de visage.

Et il doutait fort de se tromper sur le sujet. Quoi qu’il en soit, tous se devait de se soutenir, afin que l’hésitation et le trouble ne devienne trop important dans les rangs. Car cela stipulerait leur chute… et le déséquilibre de leur univers. Aizen visait très certainement cela. Mais dans un sens, takouya le remerciait pour cette leçon.. en enlevant cette illusion de leur vue.. ils n’étaient plus aveugle face à cette vérité. Tous s’étaient endormi dans ses idées… ses forces…. Et ses décisions. Désormais tout était  que remise en cause et efforts à fournir pour apprendre à vivre avec cette vérité et l’affronter.  Aizen avait tord de croire que le Gotei Treize en resterait là.  D’ongil pouvait ressentir ce potentiel.. Cette motivation qu’il pouvait lire  dans le regard de sa propre Division. Cela n’avait pas bouger.. mais plutôt augmenté, depuis  la disparition du Roku ban tai Taicho. Surtout après avoir entrevu Nocturne. La Sixième Division relevait encore plus la tête en vérité.

C’est alors que Hirô trancha le silence comme pour le congédier. Et le laisser ainsi ? que nenni, Takouya jouerait son rôle d’ainé pour la peine.  

Il ne serait pas juste de laisser mon frère d’arme en proie au doute.

Takouya ne semblait pas perdre patience face à son cadet. Ce dernier  semblait avoir passé un mauvais quart d'heure au sein me^me de son clan. Des choses assez rare, sauf pour les gens issues des branches  inférieur de la branche principale. Quand bien même on vivait sans craindre la faim ou bien l'inconfort, le milieu de la noblesse n'avait pas beaucoup de pitié et  une étiquette à vous faire perdre la tête si vous n'êtes point initié. Ce garçon devait apprendre à faire ses armes et sa place, cela était plus qu’évident. Mai sil ne manquait pas de caractère, cela se lisait assez sur ce visage encore bien expressif. Le noble  San Seki se contenta de hocher un peu du chef quand  Hirô lui parla comme si tout ce qui semblait le tourmenté semblait futile. Rien ne l'était vraiment en vérité. Sinon pourquoi serait il aussi troublé.   Il y eut comme un court silence entre eux, laissant le vent soulever un peu la longue chevelure blanche de Takouya.  Ce n'était pas tant qu'il cherchait ses mots, mais plutôt qu'il  se remémorait un peu ce qui  entourait  en ce moment le Seireitei. Il y avait là beaucoup trop de tension , malgré le soutient qui s'installait. Cela n'était pas une chose très saine et  pourrait les desservir à long terme. Cependant, notre shinigami tout haut noble qu'il soit, n'avait point à intervenir  dans les affaire d'un clan envers qui sa famille était le vassal.

Si toute fois ce ne sont que des chose ssans intérêt, vous devriez les ignorer en ce cas, et ne point oubliez ce que vous valez vous même. Ce n'est pas les autres qui sauront  vous définir, mais vos actes.  

Le noble D'Ongil n'avait pas l'intention de partir, tant qu'il n'aurait pas toute fois rassurer son frère d'arme qui  devait être parmi les jeune recrut au vu de son âge.  Pour le reste, l'Al at pouvait briller et lui annoncer qu'il serait en retard pour son service, son devoir était tout de même de redonner la confiance à ce garçon. La soul Society avait besoin de de la force de tout ses soldats, quand bien même  certains ne tiendront point tête à l'ennemi. La volonté peut tout. Cependant, cette histoire de doute le travaillait légèrement. De quoi voulais donc parler Hirô quel genre de trouble le possédait?   Aussi  Takouya reprit d'une voix aussi tranquille que ne l'était le vent autour d'eux.  

 Le doute estr une chose redoutable néanmoins. Ne laissez jamais cela obscurcir votre jugement. Alors peut être qu'il serait bon que vous soumettiez ce qui vous habite. Je puis vous assurer que je ne le hurlerais pas sur les toits.

Son visage ne reflétait aucune malice ou brusquerie. Ses traits n'exprimait que cette plénitude et  sérénité parfois un peu déconcertante qui l'habitait.  Takouya était tout comme ce désert qui ornait son monde intérieur. Un univers a la fois redoutable, sans cesse changeant de visage sous les sillons du vent et de Ghanima. Aride certes, mais  aussi patient et  attentif..Qui pouvait d'un jour à l'autre se transformer en une tempête des plus effroyable... Le El Sayal. Mais  cela n'était pas pour tout de suite.. et peu être  jamais.. mais avec cette guerre à leur porte qui sait. Quoi qu'il en soit, Takouya était conscient qu'il se devrait de progresser encore et toujours. Suivre son Hajra sur son sentier d'or.  D'un petit mouvement de la tête, il invita  son jeune collègue à le suivre, marchant dans la direction opposé du domaine Kuchiki. Le clan était sans doue sur la défensive depuis l'absence de leur chef. Les anciens ne devaient point se sentir tranquille. On ne le serait pas moins, sachant que d'autres maisons plus avide de pouvoir pourraient en tirer profit.

Marchant calmement, le noble D'Ongil invitait  Hirô à prendre son temps pour parler. Il ne servait à rien de le forcer ou  l’ensevelir de questions diverses qui ne seront certainement pas toutes  très subtiles. Autant laisser les choses comme elle venait, c'était le mieux.  

Marchant d'un pas toujours aussi tranquille que lent, le silence de Takouya invitait juste au respect dû à Hirô , comme à se révéler enfin. Notre San seki n'était pas homme à juger promptement et se contenta de jouer pour un temps, le rôle d’aîné.  Il ne le pressait nullement, préférant laisser venir les choses, qui en vérité ne mirent pas longtemps à se manifester. Batard.... c'était donc cela qui marquait  Hirô.  Non  Takouya n'était pas dupe niveau perspicacité. Cependant quoi répondre... parce que oui dans une sens il en avait vu.. un seul en vérité... Hirô. Les naissances étant fort rare en ce moment, il n'y en avait pas des masses, quand bien même certains clans semblaient peuplés.Cependant le noble shinigami n'avait rien non plus contre ce genre de personne. Il savait que la noblesse de naissance ne faisait pas tout, ni même un homme au dessus des lois. C'est là une chose que lui avait toujours enseigné son père. Teiyu D'ongil. Aussi, Takouya  se fit plus grave devant les mots de son cadet et se contenta de rétorquer :

C'est un fait rare eau sein de notre monde, mais je puis répondre  que non. Cependant je considère qu'un homme ne se juge pas à sa couverture...  

Histoire d'afficher la couleur de ce qu'il pensait déjà de cela. Si la naissance faisait un homme, alors ce monde n'aurait plus qu'à s'écrouler.  Tout le snobles ne possédaient pas la noblesse de coeur qu'ils devraient avoir, ni le sens des responsabilité qui devraient les habités sous chaque aspect de leur vie.  Sa main droite  quitta doucement la garde de Gahnima. Pour une fois ce n'est pas lui qui lui avait enseigné cela.. mais bien son propre clan et un peu de sa propre existance au sein de l'académie et de la Division. Cette dernière était un peu plus que osn devoir en somme, bien que osn coeur se sentait attiré par un tout autre univers. Mais ce dernier.. il ne se sentait pas encore prêt à l'affronter. Takouya avait des progres à faire et mine de rien, même s'il paraissait calme et d'une force tranquille, il connaissait parfaitement son niveau.

Quoi qu'il en soit son regard doré s'attarda un peu sur le jeune homme. Il ne savait pas si ses mots avaient été de qu'il espérait, mais le noble était tout simplement rester franc à sa manière. Un noble ne pouvait pas toujours parler avec franchise, pas si l'honneur d'un autre se retrouvait en jeu.. mais là, il ne voyait pas en quoi Hirô se sentirait meurtri à sa réponse.  Mais quoi qu'il en soit, il était évident que ce garçon parlait de son cas. Takouya n'avait pas l'intention de le juger, mais simplement d'apporter quelque lumière en cette obscurité qui semblait opresser Hirô.  Aussi il reprit de sa voix tranquille, gardant un aspet toujours aussi  apaisant... reflètant une personnalité nullement complexé.

Vous ne devriez pas renier ce que vous êtes et en faire une arme envers ceux qui use de cela comme une injure. Vos actes doivent parler plus que votre condition, plus encore en tant que noble, vis à vis des autres.  

Parce que le paraitre était un art très prisé par la noblesse, mais en tant que shinigami, le paraitre n'avait pas sa place. C'était les actes qui prédominait, sinon ce monde sertait déjà tombé sou sle joug du déséquilibre et du désordre. En fait, en tant que membre de grandes maison, on se devait de faire une belle gymnastique si l'on rejoignait l'armée de la coure. Une chose que l'on apprenait véritablement que sur le terrain.  Tout en marchant,  D'ongil  San seki se plongea un peu en sa réflexion, laissant simplement ses pas  se  faire un peu tout seul... si bien qu'il risquait demanquer de tourner sur la gauche afin de rejoindre les quartiers non civils..Une petite maladresse de sa part. Assez rare je dois le reconnaître, mais en ce moment, le trouble régnait en ce lieu, et la division de notre compère était un peu.. en plein dedans.

La nervosité du garçon était assez palpable, mais Takouya ne fit rien pour le lui faire reconnaître, cela n'aurait arranger aucunement la situation. Surtout alors qu'il cherchait à le détendre ou .. du moins apporter quelques réponses à ce qui le tracassait véritablement. Accompagnant son pas, le jeune D'ongil le laissait simplement venir à s'exprimer, et cela fut assez payant car enfin Hirô  se dévoila légèrement, amenant sur le tapis que l'on lui remettait toujours cela sur le tapis. Chose assez évidente.. Les gens vous montraient souvent la partie la plus ingrate soit disant.. de vous même pour vous atteindre. Voila pourquoi il ne fallait pas renier cela, mais l'accepter. Reconnaître ce que l'on redoute le plus de soi.. qui fait parti de nous quoi qu'il advienne et non s'en débarrassé car l'on ne pouvait pas.  Mais a partir du moment où l'on n'ignorait plus cette partie dérangeante, les autres ne peuvent plus nous atteindre, car cela devient une arme pour vous .. et non plus une blessure.  

 Comme vous le dites, c'est une couverture. C'est ce que vous êtes, alors pourquoi le renier vous même? C'est parce que vous n'acceptez pas ce qui apparait come une tâche noire pour les autres, que vous leur offrez un moyen de vous atteindre. Cessez de renier cela et cela ne vous toucheras plus même.. tellement qu'ils s'en retrouveront au final.. désarmé. Une arme Kuchiki san... faites en une arme aussi redoutable que votre lame.

Il falalit que ce garçon se blinde de ce côté là et aiguise ses armes .. qu'il en prenne conscience pour ne plus être aussi touché. Le monde de la noblesse avait ses griffes, mais elle avait aussi ses avantages. A Hirô de les percevoir. Quoi qu'il en soit, il ne s'attendit pas  à ce que son semblable ne change de sujet tout à coupu, l'amenant à parler de lui même. A cela Takouya arbora un léger sourire .. discrèt certes mais franc. Tout son êtres respirait la tranquillité non feinte, etun calme qui pouvait vraiment mettre sur le snerfs si on se méprenait sur ses attentions. Il n'était pas roublard... du moins pas hors combat et en cet instant. Cela serait bien futile et stupide. Pas alors qu'en ce moment la confiance entre hommes et femmes shinigamis était si précaire.. Cela étant dit, D'ongil se devait de répondr enon? Aussi c'est d'une voix parfaitement maîtrisée qu'il se permit de rétorquer:

Je suis  le Kyu ban tai San seki et vous même de quel division êtes vous jeune Kuchiki san?

Ne l'appelant aucunement “kun” histoire de ne pas être familier, bien que Hirô était bien plus jeune que lui. Au moins cela devait un peu le conforter en lui même d'être considérer ainsi. Takouya n'était pas du genre à flatter le sgens, mais il savait reconnaître leur position ou leur valeur si l'on peut dire. Le fait est que Hirô lui donnait bonne impréssion et semblait se mettre bien trop de chose sur les épaules. Il fallait savoir reconnaître sa place et ce qui avait de l'importance ou non. Enfin, ce garçon était encore jeune, et réaliser le monde qui  l'entour n'était pas chose aisé, surtout avec autant de trouble et l'absence de Kuchiki sama ajoutait une couche... mais il reviendrait, c'était là la seule certitude qui habitait notre San seki de D'ongil. Cet homme était fort et tenace... ralentissant un peu l'allure, Takouya fixa un moment son compagnon du moment :

Cela ira bien mieux lorsqu'il sera de retour. Mais pour le moment vous devriez vous concentré sur votre devoir. Le s gens peuvent toujorus parler.. mais agir , c'est bien autre chose. Kuchiki sama sait faire la différence.

Alors qu'ils n'arrivaient pas loin d'un embranchement, menant à la Neuvième Division, Takouya restait d'une oreille attentive envers son cadet. Ce dernier semblait se détendre et apprécier sa compagnie. Cela dit c'était tout à fait réciproque. Lors qu'il évoqua les punitions et l'isolement, le noble venait à penser que Hirô avait donc bien de la chance d'être un shinigami. Cela lui apportait une autre manière de vivre et certainement une autre approche des gens qui l'entouraient. Quand bien même il existait des rivalités entre les différentes Divisons, elles restaient suffisamment unifiés pour   faire naître un semblant de camaraderie. Autant dire que  ce garçon n'était nullement aussi seul qu'il venait à le penser. Si la noblesse ne voulait guère le reconnaître pleinement, il pouvait se faire reconnaître en tant que shinigami. Une porte ouverte qui faisait office de seconde chance, ce qui n'était probablement pas donné à tout le monde.

Cependant Takouya ne fit aucune réflexion de ce genre, comprenant que c'était à Hirô de faire ce raisonnement, au lieu de se focaliser sur des mentalités qui ne pourraient pas changer. La noblesse ne paraissait pas souple, pas même pour un chef de clan. Bien que notre Kyu ban Tai San Seki soit encore héritier, il percevait que plus on lui confiait de pouvoir, plus il se retrouvait entravé par les responsabilités. Une chose inéluctable et que pourtant beaucoup de gens veulent ignorer, causant ainsi bons nombres de déséquilibres. En revanche, Takouya fut assez surprit d'entendre dire qu'il paraissait fort à cause de son rang. Voila bien une chose trompeuse, mais le noble ne pouvait pas en vouloir à Hîro qui par sa jeunesse était encore un peu naïf à ce propos. Mais... dans un sens, il serait injuste que de dire que notre homme du désert paraissait faible. Disons qu'il n'ignorait pas les progrès à réaliser. Un fin soupir vint à quitter ses lèvres à demi entrouvertes, avant qu'il ne cessa son pas. C'est là qu'il inclina doucement son visage aussi juvénile que tranquille, laissant sa chevelure blanche choir  de ses épaules..  

Je suis honnoré que vous pensiez cela de ma personne, mais tout comme vousn je suis encore parmit les jeunes recrues de nos Divisions. Mais je crois que nous ne devons pas nous rabaisser par rapport à quiconque dans nos rangs, car nous avons mérité notre place. Vous avez un rang des plus honorable et je suis persuadé que Kuchiki sama le reconnaitra à son retour.  

Le kyu Ban Tai San Seki lui offrit alors un sourire avenant et tranquille, avant de reprendre un visage grave et sage. Son regard doré se porta un temps sur les cieux et finit par admettre que bientôt leur chemin allait se séparer. Cependant il reprit.  

Il 'est un bien de se prendre en charge. C'est même une chose importante.. mais ne laissez pas les problème prendre le dessus sur votre vie. Le Gotei Treize est une grande famille et chaque membre compte.. Il me semble que cette dernière vous a aussi adotpé. Ignoré ceux qui ne peuvent rien vous apporter parce qu'ils vous dénigre. Croyez bien que moi même entant qu'héritier je ne ferais jamais la majorité absolu dans mon propre clan.. On ne peut être aimé de tous.

Puis il se tut sur la question. Mais.. il lui apparaissait important que Hirô sache ne pas faire des efforts non plus contre le courant, cela était bien trop futile et pour le moment... la guerre était à leur portes. On n'avait pas le temps de s'attarder sur des soucis aussi triviaux apporté par la noblesse. Ce garçon devait apprendre à se blinder et non se torturer l'esprit... C'était plus le rôle des chef de clan et encore.  Sa main droite s'attarda un peu sur la garde de son zanpakuto, comme se rassurant un peu de sa présence.. il faut dire que tout deux étaient comme très lié... Rien qu'ne voilant ses yeux.. le noble pouvait presque entendre le crissement du sable sous la queue formé d'anneaux.. de Ghanima.

Takouya s'arrêta au dernier croisement qu'ils rencontrèrent et  se contenta d'écouter Hirô qui lui apparaissait comme bien plus détendu. Comme si le poids qu'il portait jusque là venait de s'alléger.Au moins c'était cela de gagné, tandis que leur chemin allait se séparer ici. Le noble glissa un regard vers le soleil qui réchauffait la rue de ses rayons, écoutant simplement les paroles de son cadet. Il s'excusait pour sa naïveté ?... cela n'avait point de sens. Tout deux étaient jeunes et ne pouvait que se tromper parfois. Sinon à quoi bon vieillir...Nul ne pouvait se targer ne pas se tromper durant les premières étapes de son existence.. a moins d'être un idiot arrogant.  Un petit sourire énigmatique vint à ses lèvres, avant de reprendre un visage impassible mais doux. Puis enfin il vint à soumettre de sa voix tranquille et monocorde :

La naiveté est signe de jeunesse. Il ne faut pas tant s'en excuser. Mais j'ai été ravis de vous connaître Kuchiki Hirô.

Oui il l'était et il serait fier de se tenir à ses côté sur le champ de bataille, si cela du moins se présentait. Pour le reste, notre Kyu Ban Tai San Seki était ravit de voir que ses mots avaient eu un effet bénéfique sur son collègue. Le Gotei Treize se devait de renforcer ses rangs, pas de sombrer dans la méfiance et le retrait. Cela ne pourrait être que fatale pour toute la Soul Society et contraire au devoir de tout shinigami qui se respectait. Lentement, sa main dériva de la garde de son zanpakuto, venant tranquillement se reposer le long de son flanc. Ce garçon qui se tenait à ses côté pourrait être prometteur à l'avenir. Ce n'était pas un Kuchiki pour rien. Mais c'était à Hirô de le réaliser, nullement à lui...C'était un choix personnel. Mais si jamais il parvenait à devenir ce qu'il pensait, Takouya serait doublement ravit de l'avoir connu en ce jour même.

J'espère que nous nous rencontrerons en des circonstance moins grave.. mais quoi qu'il en soit, si jamais nous deviosn nous battre, je serais heureux de vous savoir à mon côté.  

Le considérant alors comme un frère d'arme, lui rappelant son devoir et ce qu'il était, si la noblesse ne le reconnaissait pas comme un des leurs.. le Gotei Treize si. Notre noble Dongil n'était pas du genre flatteur ni à dire des mots qu'il ne songeait pas. Le fait est qu'il lui apparaissait comme un garçon inquiet de son avenir.. qui ne le serait pas du reste ? Aussi il se permettait juste de lui éclaircir un peu la route, sans pour autant l'induire à prendre à gauche ou à droite.Finalement c'était bien là le mythe de la grenouille.. si tu marche à droite du chemin.. cela ira. Si tu marche tout à gauche.. pas de problème non plus.. mais si tu reste au milieu du chemin... tôt ou tard tu te feras écraser. Il en était de même pour eux tous... y compris son jeune accompagnateur du moment. Le visage de Takouya se fit un peu plus grave encore, comme laissant une pensée vagabonder vers un monde sablonneux et froid...Une pensée pour cet homme qui se retrouvait séparer de sa Division et de ce monde.

A ce moment là, il ignorait que Nocturne avait pour ainsi dire, rejoint le monde humain avec Abarai Renji.. qu'ils s’entraînaient durement en attendant de pouvoir avoir un accès possible vers le Hueco Mundo. Une tâche périlleuse.. interdite.. mais qui sera payante dans le futur proche.  Son regard doré s'attarda un instant sur le mur.....un point fixe.. puis revint sur Hirô. Lentement, le noble s'inclina un peu pour le saluer et repris de sa voix toujours aussi tranquille que paisible, mais marqué d'un certain sérieux malgré tout  :

Je vais devoir vous laissez pour rejoindre ma Division. Que Shai hulud accompagne vos pas jeune Kuchiki.  

Puis il se redressa pour tourner les talons vers la droite et s'éloigna progressivement de notre protagoniste, jusqu'à disparaître au bout de la rue, rejoignant ainsi les bureaux principaux de la Division où une montagne de dossiers l'attendaient patiemment depuis l'aube.